Pour canaliser les 600 ch sur la route, cette belle Bugatti fera confiance une fois de plus à une transmission à quatre roues motrices.

Celle-ci sera couplée à une multitude de systèmes électroniques de sécurité afin que le conducteur/pilote de cette auto reste sur la bonne trajectoire. En revanche pour limiter les coûts, il n’y aura pas d’aileron mobile mais un petit becquet fixe pour asseoir le train arrière. Pour coiffer les occupants de l’auto, Bugatti fera confiance à une capote souple dont le maniement sera assuré par un moteur électrique. Du fait de la présence de cet accessoire, la Bugatti Baby sera auto-limitée à 250 km/h en pointe lorsque la capote sera en place.

Une fois décapotée, elle dépassera allégrement les 300 km/h. Un peu plus petite et moins performante que la Veyron, la Bugatti Baby n’en sera pas moins une voiture exclusive. Son prix devrait être à la hauteur de l’image de marque du constructeur de Molsheim et dépasser les 400 000 euros.

Ceux qui pensaient qu’une Bugatti pourrait être abordable, devront se faire une raison. Que ce soit la Baby ou le coupé 2+2, les futures Bugatti seront hors de prix pour la plupart des automobilistes. Ayant pris du retard dans son programme de mise au point de la Veyron 16-4, la marque de Molsheim et en train de redéfinir les dates de ses lancements, si le coupé 2+2 pourrait apparaître vers 2012, le roadster Bugatti ne devrait pas être lancé avant 2015. De quoi garantir une auto fiable aux acheteurs qui seront près à faire un gros chèque pour l’installer dans leur garage. D’ici cette date, Bugatti devrait nous proposer un concept-car qui à l’image de celui de la Veyron 16-4 devrait écumer pas mal de salons avant la commercialisation.

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