Les 2 protagonistes engagés dans la catégorie + de 500 ch sont des Nissan GT-R. Rien n'indique si elles sont d'origine ou pas (c'est rare qu'elles le soient) mais en tous les cas, lorsque elles s'élancent, le match est serré et laisse penser qu'elles partent avec les mêmes specs.

GT-R ou pas, traction intégrale ou pas, électronique d'aviation ou pas, la concurrente de droite fait un écart très léger (probablement le bitume légèrement bosselé à moins qu'il y ait rupture mécanique ou bug informatique !) sur sa droite qui, sous la pleine charge du V6 biturbo, se transforme en un coup de raquette à la Nadal qui envoie dans la seconde l'auto s'écraser dans le rail opposé qui, par chance, débutait pile à cet endroit. Sans cela, la forêt derrière aurait été nettement moins accueillante même si le crash est d'une rare violence et laisse la GT-R bonne pour la casse.

On ne relèvera pas le fait que c'est une femme – non casquée - qui sort de l'auto plusieurs secondes après le crash mais simplement qu'il n'y a aucune intervention médicale de quelque nature que ce soit. C'est la Russie.


Une Drag Race n'est pas sans risque. Même en Nissan GT-R

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