Alors que certains vont patienter longtemps avant d'avoir leur GT-R, d'autres les cassent. Et pour bien remuer le couteau dans la plaie, on peut penser que notre bonhomme recevra sa deuxième GT-R avant même que le premier européen ne touche la sienne ! C'est la fracture géographique.

Bref, dans la vie d'une supercar, il faut une pionnière. La première qui tâte le bitume autrement qu'avec ses 4 roues, la première qui se refait faire le portrait par un artiste du volant un peu maladroit, la première qui expose impudiquement ses entrailles aux photographes de passage.

Dans le cas de la Nissan GT-R, la première à avoir éteint ses 480 ch est noire.

Mais pas d'inquiétude, si lors de l'hécatombe Ferrari Enzo, on pouvait s'inquiéter du nombre qu'il en resterait au final, les chiffres de vente de la GT-R empêcheront les internautes malins (dans tous les sens du terme) de tenir un compte de ce type.

Même bardée de puces, une auto est cassable : ce sera la leçon du jour.

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