La valorisation du véhicule hors d'usage (VHU) s'inscrit dans la politique environnementale du constructeur Volkswagen.

Depuis le 1er janvier 2007, la France s’est dotée de plusieurs dispositifs destinés à promouvoir le recyclage des produits en fin de vie par filière, comme les déchets électroniques ou industriels, les batteries, les pneus et l’automobile elle-même.

Notre pays applique la nouvelle réglementation fixant les règles et objectifs de la filière de recyclage de l’automobile. Les possesseurs des véhicules en fin de vie sont appelés à ramener leurs véhicules uniquement sur des plates-formes disposant d’un agrément préfectoral nécessaire pour le traitement de leur véhicule en vue de sa destruction. Seuls les broyeurs agréés sont habilités pour assurer la destruction physique des véhicules et en confirmer la destruction administrative. Ils contribuent aussi à l’atteinte des objectifs de recyclage de 85% du poids des véhicules et de 95 % à terme.

Pour Volkswagen, la protection de l’environnement joue un rôle important dans le processus de fabrication d’un véhicule : de sa conception jusqu’à sa fin de vie et son recyclage. Il s’agit de s’assurer que les matériaux utilisés n’entraînent pas de nuisances pour l’homme et pour l’environnement ni pendant l’utilisation, ni en fin de vie de l’automobile. Pour augmenter la quantité de matières premières issues des déchets automobiles, il a développé un procédé de traitement spécifique qui permet le recyclage des matières contenues dans les résidus de broyage.

Volkswagen France a noué récemment un partenariat avec l'entreprise Marchetto Recyclage (spécialisée dans la récupération et le recyclage des chutes et déchets d'industries) pour développer sa chaîne de traitement des véhicules hors d’usage (VHU).

Son objectif : atteindre les objectifs fixés par le décret VHU N° 2003-727 relatif à la construction des véhicules et à l’élimination des véhicules hors d’usage.