Chers lecteurs, je vous propose le défi suivant : Regarder la vidéo qui suit en entier (ce qui est déjà un exploit) sans éclater de rire.

Personnellement j'ai abandonné après 4 tentatives. Alors certes, tous l'égoûts sont dans la nature... mais là je crois que nous avons à faire au maître absolu. Au ridiculiseur de kékés, au dieu de la personnalisation inqualifiable, en un mot : nous sommes en présence d'un membre du terrible club des bososoku !

Mais qu'est-ce que le bososoku ? Vous entend-je susurrer... Et bien c'est tout simplement ce qui se fait de mieux dans le domaine de... heu... de la saucisse no limit.

Moi qui pensais avoir tout vu avec la saucisse Ricard et la saucisse Lorenzo Lamas, je viens de découvrir un nouveau monde !

Les japonais nous montrent encore une fois qu'ils sont précurseurs dans un style... qui n'arrivera certainement pas à être égalé.

Et pour cause : voilà les principaux ingrédients pour réaliser une bososoku-mobile :

  • Une vieille guimbarde hors d'âge.
  • Deux (ou plus) tubes d'échafaudage d'une longueur de 3 mètre minimum (pour l'échappement).
  • Un radiateur non fonctionnel le plus petit possible (genre celui de votre processeur), bien visible à l'avant.
  • Un klaxon digne de celui de Shérif fais moi peur (plus c'est ringard mieux c'est en fait.)
  • Une table à repasser et deux plaques de placo pour la transformation de la carrosserie.
  • Sept bouteilles de whisky... c'est qu'il faut à mon avis avoir ingurgité pour être capable de réaliser un intérieur digne de ce nom.

Allez, je retourne la regarder, je suis bloqué au moment où il klaxonne devant la police, je n'ai toujours pas réussi à ne pas rigoler à ce moment-là. Ces japonais, ils ont vraiment un humour décapant !


[Vidéo]:Le kéké de l'année... voir de la décennie !

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