Même si Volkswagen est certainement l'un des derniers à souffrir de la crise en Europe, les effets du ralentissement de l'industrie automobile se font même ressentir chez VAG qui annonce, par le biais de son patron Martin Winterkorn, que certaines équipes des usines de Volkswagen en Europe pourraient être réduites. Les personnes concernées seraient, selon Winterkorn, uniquement les travailleurs temporaires, ce qui veut dire, pour le moment, que le personnel fixe de Volkswagen n'est pas concerné.


« En ce qui concerne le fait que nous sommes dans un tournant positif ou négatif, notre but reste toujours que le groupe Volkswagen soit le premier dans le monde automobile », et ce, dès 2018. En gros, malgré la baisse de régime en Europe, Volkswagen considère que l'importance du marché chinois, en premier, primera sur les difficultés du Vieux Continent. Mais gare à General Motors qui semble être en très bonne forme en Chine. La bataille promet d'être rude pour les cinq prochaines années.