Engin utilitaire au possible doté d'une bouille d'enfer et d'un potentiel de base indéniable, le Mercury s'accompagne assez facilement de chromes, et de peintures flashy à souhait... mais aussi d'une petite cure de vitamines.

Sur cet exemplaire de 1953 c'est carrément la (très) grosse cavalerie avec l'implantation d'un bloc moteur venant d'une Dodge Viper SRT-10. Il s'agit donc d'un V10 8,3 L développant la puissance phénoménale de 505 chevaux.

A première vue c'est l'exercice de style qui est recherché plus que celui des performances pures, puisque les trains roulants ne font pas l'objet de modifications significatives.. niveau motricité ce doit être quelque chose !