Valentino Rossi a ainsi fin son premier rallye de Championnat du Monde. Avec une vraie WRC, une Subaru équipée en Pirelli. Objectif atteint pour le prodige moto de Tavullia, lui qui ne voulait surtout pas revivre la courte expérience de 2002, au Rallye de Grande Bretagne, avec une 206, toujours WRC, mais en Michelin.

Au bilan, une onzième position, satisfaisante, même s'il espérait secrètement entrer dans les dix. Mais c'est surtout le rythme à tenir dans les longues spéciales qui a impressionné Rossi.

WRC: Rossi reviendra

Il a ainsi pu se faire une idée objective du niveau de la discipline. Sur les courtes distances, les apparences étaient sauves, mais dans les vraies spéciales, l'addition au kilomètre étaient sans appel. Reste que Valentino a réussi à la réduire à deux secondes au kil' en fin d'épreuve.

Rossi à l'arrivée l'a dit ; il remettra ça. Avec peut être encore de nouveau Carlo Cassina, l'ancien binôme de Biasion, du temps de la splendeur Lancia. En attendant, la pige de Rossi sur quatre roues a été observée. Jean Todt a ainsi rappelé, à tout hasard, qu'en 2009, la porte Ferrari sera de nouveau ouverte pour discuter, à toutes fins utiles.