Commentaires - Crise: L'usine de Continental à Clairoix "pourrait" être reprise. La victoire des casseurs ?

Je trouve ça hallucinant ils préfèrent faire couler la boîte plutôt que de la vendre. C'est malheureusement pas la première fois que j'entends ce genre de discours

Excusons Patrick Devedjian de donner une nouvelle ( pas vérifiable pour l'instant ) qui n'est là que pour atténuer ou desamorcer le conflit qui s'envenime..hélas et de part et d'autres ! Mais je suis quand même assez surpris d'apprendre que comme ça des dubaïotes viendraient investir dans une entreprise , pour l'instant pas mise en vente ....et à Dubaï on investi plus couramment dans les entreprises en bonne santé, novatrices, rémunératrices ou les fonds de pensions que dans les reprises d'entreprises du secteur secondaire en difficulté situé dans l'Oise ...D'ailleurs Luc Chatel enfonce un peu son collègue ministre de la relance ( le nom fait sourire ... ) en déclarant que cette annonce claironnée par Devedjian n'est en fait qu'une simple hypothèse et rien de plus ( les échos.fr )..Encore une annonce faite à la "va vite" surement pour désamorcer ce conflit social et pouvoir avoir un oeil sur les autres..dont celui qui va naitre chez Freescale à Toulouse où plus de 800 emplois sont en jeu. Et je passe sur les centaines d'autres conflits auxquels le bon ministre va devoir trouver des solutions lointaines et "étranges" pour garder une certaine paix sociale ainsi qu'un un oeil sur les risques d'accentuation de la crise qui s'annonce pour les 18 mois qui viennent ( cf données du FMI hier )...Seul Heuliez est un peu plus en paix jusqu'à la fin de l'année, peut etre est du à l'intervention magique de la madonne de Melle, mais là aussi ce n'est que du provisoire et nous en reparlerons en octobre prochain. En tous cas , P Devedjian devrait plutôt être ministre des plans et solutions étranges ( pour ne pas dire plus et manquer de respect à l'homme ) plutôt que de la Relance qui se fera ou non d'ailleurs mais surtout sans lui en tout cas , car l'économie a de nos jours un tout autre pouvoir qu'un politique fut l'ami de notre président.....

Bah avec des lourdaux comme ces gros branleurs-casseurs de tarvailleurs francais, je comprends que les boites etrangeres aient envoe de se barrer par centaine de ce mpays de merde

@16:13 Conditions de travail en chine 70h par semaine, 7 jours sur 7, 2 semaines de vacances non payé. Si t'es pas content tu peux aller travailler là-bas. Au faite en Inde ils tuent les mauvais patrons !

Conti ne veut pas vendre son activité pneu, ils veulent la delocaliser dans les pays à faibles salaires. c'est pour cela que l'usine locale de clairoix est destiner a s'eteindre. mais la fabrication de clairoix va continuer dans une autre usine ds un pays low cost. si Conti vent l'activité pneu de clairoix, ils créent un concurant de +. Vous imaginez bien qu'il ne vont pas le faire... Il faut savoir que les contructeurs automobile forcent les soustraitants à se délocaliser sinon ils n'achettent plus leurs produits. il faut donc commencer par mettre la pressions sur  ses constructeurs malveillants avant tout. il faudrait aussi arreter de croire qu'une usine geante composée que de robot qui fabrique pour éà ou 25 pays differents est une solution viable. les salariers sont les clients des entreprises. pas de salarier, pas de salaire, pas de client. les entreprisent vont s'eteindre. on vois bien aujoud'hui, apres la stabilisation des ventes de voiture qui dure depuis 10 ans environs, la trajectoire repartir vers le bas. les gens n'achettent plus de voiture chere car ils ne sont plus payé correctement. Comment un roumain (salaire moy =400€) peut acheter une logane à 7000 € ? c'est 18x son salaire ! Bref je pense que "l'hyper-concurance" est plus, une arme de "destruction massive", qu'un outil industriel de croissance. Si on ne fait travailler que les faibles salaires, la masse financiere disponible chez les clients (l'homme de la rue est le client final)  va fondre a vue d'oeil, et sans client, pas d'entreprise...

Tous ceux qui parlent de violence à propos de ces cadres ou de ces patrons retenus quelques heures contre leur gré font mine de ne pas voir que la vraie violence est celle exercée contre les travailleurs par l’ensemble du patronat, par le gouvernement à son service, pour leur faire supporter les frais d’une crise dont ils ne sont en rien responsables.