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Commentaires - GP d'Italie : Fernando Alonso sera-t-il plus fort que le Baron Rouge

Daniel Bour

GP d'Italie : Fernando Alonso sera-t-il plus fort que le Baron Rouge

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Par Anonyme

Michael est "chez lui" et la Ferrari est actuellement au dessus de la Renault.

Allez "Schummi" tu es le plus grand champion.. :)

Please reste en F1 :jap:

Par Anonyme

non!ferrari et chez elle c'est tout!et on vera bien si ils sont toujours au dessus avec l'arriver de la nouvelle renault... :D

Par Anonyme

Alonso restera toujours dans l'ombre de Schumacher.

89 victoires,68 poles et 7 titres.Alonso en est loin.

Par Anonyme

mais alonso n'a que 23 ans... :lol:

Par Anonyme

peut etre mais alonso est un gros con

 

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Par Anonyme

et schumi bientot 50 ouuuu le vieux monsieur

il va comme jm partir en retraite sur l'ile de re ou bien l'ile d'oléron

Par Anonyme

ALLEZ RFENAULT EN FORCE

FORCE A RENAULT

UN DOUBLE CETTE ANNEE

Par Anonyme

Je ne comprend pas pourquoi vous dîtes que Fernando est un c...

C' est la jalousie ????

Par Anonyme

Oui mais ,objection, M SCHUMACHER: Capable du meilleur comme du pire!!

Michael Schumacher (Ferrari) a alterné coups d'éclat et coups tordus dans sa carrière. Bienvenue dans le côté obscur de la force...

1990 GP de Macao F3. Les meilleurs juniors se retrouvent pour se disputer l'officieux titre mondial de la catégorie. Champion d'Allemagne, Michael Schumacher vient de prendre une leçon de pilotage à Hockenheim par le champion de Grande Bretagne, venu meubler son après-saison. La victoire est décernée sur addition des chronos de deux courses et après sa victoire en 1ère manche, le Finlandais dispose de 2.6 sec d'avance. Autant dire qu'une bonne place derrière l'Allemand suffit pour ceindre la couronne. A l'attaque du dernier tour, le Nordique attaque le leader germanique. Un ultime affront que ce dernier refuse d'un coup de volant sec qui envoie la Reynard dans le rail, à 240 km/h. "Ce type est fou", déclare l'infortuné nommé Mika Häkkinen, qui dit s'être vu mourir.

Verdict : une manoeuvre folle, délibérée, qui reste à ce jour la plus laide de la carrière de Schumi. On s'étonne encore de tant de mansuétude du pouvoir sportif d'alors. Aujourd'hui, la suspension de licence pour plusieurs course serait le minimum encouru.

1994 GP de Grande Bretagne. Dans le tour de formation, Schumacher (Benetton) dépasse le poleman Hill (Williams). C'est interdit et 5 sec de pénalité tombent. L'infraction est bénigne, courante, Schumi est le premier puni dans le genre mais Briatore et Walkinshaw, ses patrons, parlementent avec l'autorité sportive. La sanction monte, Schumi reçoit trois fois le drapeau noir, brandi sur la piste et s'exécute tardivement. 2e, il est disqualifié. Ses explication sont incohérentes : s'il a passé Hill, c'est parce que l'Anglais avait freiné et qu'il n'avait pas voulu piler et risquer un plat sur ses pneus. Le replay de la télé le montre pourtant en pleine accélération. Aussi, aveuglé par le soleil, il n'a pas vu le drapeau noir...

Verdict : Schumacher était sur les terres de Hill et les Anglais veillaient... Deux poids, deux mesures aussi : les commissaires ont traité les deux dépassements d'Häkkinen (McLaren) sur Alesi (Ferrari) dans le tour de formation. Plutôt que s'exécuter, Schumacher et Benetton ont aggravé leur cas maladroitement. L'Allemand paira son non-respect du drapeau noir par deux courses de suspensions.

1994 GP d'Australie. Schumacher mène le championnat devant Hill avant cet ultime rendez-vous. Tout bascule au 36e tour quand la Benetton décolle sur une bordure, tape latéralement un mur et revient en piste. Elle est secouée par un Schumacher qui comprend qu'il n'ira plus très loin. Mais il voit la Williams surgir derrière lui... L'Allemand jette un regard furtif dans ses rétros avant de claquer la porte à l'Anglais dans le virage suivant. L'accrochage déséquilibre la Benetton puis la fiche dans une pile de pneus. Suspension faussée, la Williams rentre au garage. Schumi est champion.

Verdict : un grand classique du règlement de compte de fin de championnat vu sur tous les circuits du monde, dans toutes les catégories. A juger avec précaution car la genèse de l'incident est lointaine. En effet, quelques mois plus tôt, Briatore est allé trop loin au GP d'Espagne en s'attaquant à la FIA et à son président Max Mosley, au sujet des mesures visant à réduire les performances des voitures après la mort de Ratzenberger et Senna, à Imola. Briatore a même initié une grève lors des essais libres, le vendredi matin. Dès lors, rien n'est pardonné à Benetton, épinglée à Silverstone, privée d'une victoire à Spa (fond plat hors cote après un tête-à-queue de Schumacher sur une bordure), et condamnée à disputer deux grands prix sans sa star. De 37 points avant Silverstone, l'avance de Schumacher a fondu à une unité à Adélaïde, où c'est un pilote excédé qui arrive. Une fin en queue poisson compréhensible mais bien sûr pas excusable.

1995 GP du Brésil. L'ensemble pilote + voiture doit afficher au minimum 595 kg et la FIA a décidé de peser les pilotes en début et en milieu de saison pour n'avoir ensuite qu'à vérifier le poids de la voiture. Bref, plus le pilote est lourd, plus il peut rouler avec une voiture légère. Schumacher est celui qui a pris le plus de poids : 8 kg depuis la dernière pesée, fin 1994. Celle-ci annonce 77 kg mais le paddock n'est pas dupe. Les commissaires vérifient le dimanche : 71.5 kg.

Verdict : De la grosse ficelle comme Schumacher peut en fabriquer. Grotesque et confondant de naïveté.

1995 GP de Belgique. Difficile de résister à l'envie de gagner quand on s'appelle Michael Schumacher et que l'on se retrouve en tête après s'être qualifié 16e. L'Allemand barre sans embarras de zig-zag la route de la Williams de Hill, plus rapide.

Verdict : dans le plus pur style Schumacher : ce qui n'est pas (encore) interdit est praticable. La FIA y met de suite bon ordre en instaurant la règle du changement de ligne unique.

1997 GP d'Europe. 48e tour de ce final du Mondial : Villeneuve (Williams) arrive à la hauteur de Schumi (Ferrari) au prix d'un freinage tardif mais impeccable, dans un droit. Le sang de l'Allemand ne fait qu'un tour en voyant le Canadien réussir la man&oeliguvre valant le titre. La moitié de la Williams a dépassé la Ferrari quand, de rage, Schumi assène un violent coup de roue avant dans le ponton gauche adverse. Le but : provoquer un double abandon qui maintiendrait définitivement son point d'avance au championnat. Mais l'italienne s'ensable et l'anglaise file, radiateur endommagé mais suffisamment solide pour recevoir le damier. "Je savais que Michael pouvait me sortir", avoue Villeneuve, qui avait formulé cette même crainte avant la course.

Verdict : Schumacher mauvais perdant et toujours capable du pire dans l'impulsion. Pas d'excuses, tout juste quelques regrets de sa part après un hiver à l'écart des médias.

2000 GP d'Espagne. Michael coince son frère Ralf, qui pilote une Williams, pour permettre à son fidèle lieutenant Barrichello de ravir la 3e place !

Verdict : Casqué, Schumacher traite son frère comme n'importe quel adversaire ! Cohérent.

2001 GP d'Allemagne. Panne de boîte de vitesses pour la Ferrari du triple champion du monde, qui sert de tremplin à la Prost de Burti. Il stoppe son épave rouge sur la trajectoire. Exactement le même coup qu'en Autriche, en 2000. La course est stoppée, mais à cause des débris de carbone au premier freinage.

Verdict : L'art de la course !

2002 GP d'Autriche. Ce n'est que le 6e gp de la saison mais Jean Todt enjoint Barrichello d'abandonner sa position au profit de son chef de file. Le Brésilien avait offert sa 2e place à l'Allemand un an plus tôt. Là, il donne la victoire à dix mètres de la ligne d'arrivée ! Les huées d'un public floué, qui jette les casques rouges de rage, se poursuivent jusque dans la salle de presse, où les journalistes soumettent le vainqueur à des questions sans concession. D'autres préparent des Une dévastatrices pour la réputation du Cheval cabré. Schumacher se retranche derrière "une décision d'équipe" et insiste sur le ridicule éventuel de Ferrari en cas de courte défaite au championnat Pilotes...

Verdict : le profit immédiat plutôt que le résultat moral. Bernie Ecclestone sort de sa réserve en mettant en garde Ferrari contre une nouvelle tentation. La FIA interdit les consignes d'équipes, "sauf en fin de championnat", amende Max Mosley. Finalement, Ferrari s'est faite gronder par le Conseil Mondial car Barrichello était monté sur la plus haute marche du podium, poussé par Schumi...

2002 GP des Etats-Unis. Schumi s'est adjugé 10 des 15 premières courses et commence à s'ennuyer. Barrichello le talonne toujours dans les derniers tours alors il tente une arrivée ex-aequo, pour partager la victoire. Le Brésilien le devance de 11 millièmes.

Verdict : le public américain n'a pas saisi la subtilité et reste perplexe. Un mauvais coup pour la F1, de retour depuis deux ans seulement aux Etats-Unis.

2003 GP de Grande Bretagne. Schumacher fait brouter de l'herbe à Alonso (Renault) en pleine bagarre, à 185 km/h. RAS selon les commissaires.

Verdict : une rechute. Schumi avait déjà serré Häkkinen à Spa, en 2000, et mis Frentzen (Jordan) dans l'herbe alors qu'il ressortait des stands de Montréal, en 1998. Toujours la même sorte d'argument : "pas vu". Et pas pris.

2006 GP de Monaco. Schumi n'est pas assez véloce pour garder sa pole dans la dernière minute de la qualification et Alonso (Renault), Räikkönen (McLaren) et Webber (Williams) s'apprêtent à faire mieux. Plusieurs ajustements bizarres sur le volant pour échouer devant le rail, à la Rascasse. Le drapeau jaune promptement déployé fait son affaire : voilà sa position de pointe entérinée. Tollé général...

Verdict : Comment peut-on perd le contrôle de sa monoplace à 16 km/h, dans un virage où on est passé environ 2000 fois ? Les commissaires épluchent la télémétrie et le replace en dernière ligne. Il pouvait gagner et finit 5e. Et s'il perdait le titre pour moins de 6 points ?

2006 GP de Hongrie. Sous la pression de De la Rosa (McLaren), Schumi (Ferrari) coupe la chicane sans rendre sa position. Grogne parmi les pilotes.

Verdict : le métier !

Par Anonyme

vous avez koi contre renault?detre une marque francaise?ki de plu reussi a batre ferrari?et alonso alor?kil reussisse a batre shumi?jcroi ke c ca le probleme :q

Par Anonyme

le schumi c'est un fumier, un tricheur,quand a son boss c'est pas mieux.

regardez le depart de la derniere course,il coince carrement alonso.ce type est anti sportif des qu'il sent une menace de ses adversaires, tu parles d'un barron, une merde oui.

Par Anonyme

vous avez oublié son(MS)travers GP de monaco 2004 si je me souviens bien (un de + à sa liste).

il était en plein tournant, il était très mal plaçé, ça se voyait qu'il a fait une petite manoeuvre pas très catholique pour créer un bouchon et faire sortir la voiture de sécurité (eh oui coup classique quand on est pas en tête de la course). En fait il n'a pas réussi son coup,les autres voitures ont réussi quand même à le contourner.

celui qui a un enregistrement de cette course pourra le visionner.

Quant à Alonso s'il l'on fait une statistique (nbre de coup ?? / nbre de course) je ne pense pas qu'il soit sur la haute marche de ce podium spécial.

Le Shumi est peut être le plus titré, mais à quel prix??? (même vis à vis de son propre frêre)c'est de loin le pilote que je préfère le moins à cause de son comportement sur les circuits.

De là donc à l'idôlatrer comme certains le font, je ne comprends vraiment pas.

Un point à son honneur quand même, à son âge il a encore la niac, chapeau.

Une autre préçision concernant Alonso vis à vis de son transfert préçipité chez Mac Laren , considéré comme un coup de couteau vis à vis de Renault, et interprétable ainsi (je ne pense pas qu'il soit C.. comme certains le dise, je pense plutôt à de la jalousie).

Deux choses importantes à vous remémorer:

1) au moment où Alonso à été chassé par Ron denis (Mc laren) Renault n'était pas sûr de continuer la F1, donc tout à fait naturel qu'il se projette dans l'avenir ce jeune pilote, donc qu'il cherche ailleurs. Ce n'est bien qu'après que le Pdg de Renault Carlos Gohn a donné le feu vert pour continuer la F1, voila une nouvelle donne.

2)il en a profité pour augmenter substanciellement son contrat, quoi de plus légitime (comparer son salaire à celui de schumi), y a de quoi blémir, quand on a l'étoffe d'un champion.

D'ailleurs au fait ; ceux qui insultent gratuitement Alonso, c'est peut être toujours les même qui écrivent des insultes sur ce blog, no comment supplémentaire.

ON peut donner son avis SANS ECRIRE des ANNERIES. On reste pôli SVP,

Par Anonyme

je suis tout a fait de ton avis chuco rien a dire de plus et vive fernando alonso ;)

Par Anonyme

alonso prend toi le mur pilote de merde!!!!!

Par Anonyme

MALGRE SES TITRES SCHUMI NE SERA JAMAIS UN GRAND PARMIS LES GRANDS COMME CE FUT LE CAS POUR SENNA OU PROST.

Par Anonyme

non schumi est le plusgrand

Par Anonyme

schumi etéit un bon pilote, mais certainement pas le plus grand, loin de là, le plus grand tricheur ca peut etre ...

 

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