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Commentaires - Il y a 3,2 millions de voitures électriques sur les routes dans le monde

Audric Doche

Il y a 3,2 millions de voitures électriques sur les routes dans le monde

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Par §ker138XV

les milliers de ZOZO invendables de 2013 2014 planqués sur les nombreux parcs sont-elle comptabilisées?

Par §Gun488Rn

En réponse à §ker138XV

les milliers de ZOZO invendables de 2013 2014 planqués sur les nombreux parcs sont-elle comptabilisées?

   

Ouep ......

Par

seulement 3.2 millions de VE et lorsqu'on constate le niveau de pollution actuel du à la fabrication des batteries...Ca laisse songeur. :roll:

Mais on me dit à l'oreillette que ce n'est pas grave car il s'agit de lieux pollués à plusieurs milliers de kilomètres de la France. :coucou:

Donc tout va bien dans le meilleur des mondes. :fleur:

Par

En réponse à mekinsy

seulement 3.2 millions de VE et lorsqu'on constate le niveau de pollution actuel du à la fabrication des batteries...Ca laisse songeur. :roll:

Mais on me dit à l'oreillette que ce n'est pas grave car il s'agit de lieux pollués à plusieurs milliers de kilomètres de la France. :coucou:

Donc tout va bien dans le meilleur des mondes. :fleur:

   

Ah parce que les batteries Li-ion sont uniquement utilisées par les VE?

Par

3 millions et 760 millions de thermiques

ridicule :ptdr:

 

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Par

C'est oublier un peu vite plus de 10 millions d'hybrides vendues depuis 1997 et qui se passent de moteur essence pendant la moitié de leur fonctionnement. Leur apport la pureté de l'air est donc équivalent à 5 millions d'électriques... Et plus d'un million d'hybrides sont fabriquées annuellement par Toyota seul...

Par

En réponse à mekinsy

seulement 3.2 millions de VE et lorsqu'on constate le niveau de pollution actuel du à la fabrication des batteries...Ca laisse songeur. :roll:

Mais on me dit à l'oreillette que ce n'est pas grave car il s'agit de lieux pollués à plusieurs milliers de kilomètres de la France. :coucou:

Donc tout va bien dans le meilleur des mondes. :fleur:

   

Et vous constatez quoi au juste ? Et que constatez-vous pour l'exploitation pétrolière ? Et pour l'exploitation du plomb des batteries 12V qui ne vous a pas gêné le moins du monde jusque là ?

Par

En réponse à §ker138XV

les milliers de ZOZO invendables de 2013 2014 planqués sur les nombreux parcs sont-elle comptabilisées?

   

Ce serait intéressant si vous expliquiez aux béotiens que nous sommes pourquoi elles sont invendables. Capacité réduite ? Recharge avec matériel spécial ?

Par §mou747bF

En réponse à Hybridation

Ce serait intéressant si vous expliquiez aux béotiens que nous sommes pourquoi elles sont invendables. Capacité réduite ? Recharge avec matériel spécial ?

   

C' est vrai ça, il en dit trop ou pas assez ..!!

Par

En réponse à Hybridation

C'est oublier un peu vite plus de 10 millions d'hybrides vendues depuis 1997 et qui se passent de moteur essence pendant la moitié de leur fonctionnement. Leur apport la pureté de l'air est donc équivalent à 5 millions d'électriques... Et plus d'un million d'hybrides sont fabriquées annuellement par Toyota seul...

   

D'ou sort tu ces chiffres ?

Par

En réponse à

Commentaire supprimé.

   

C'est peut-être tout simplement les retours de LLD.

Mais bon l'objectivité et toi et ta fixette sur Renault...

Par

En réponse à Hybridation

Et vous constatez quoi au juste ? Et que constatez-vous pour l'exploitation pétrolière ? Et pour l'exploitation du plomb des batteries 12V qui ne vous a pas gêné le moins du monde jusque là ?

   

https://www.contrepoints.org/2013/11/05/145159-eoliennes-terres-rares-et-desastre-environnemental-une-verite-qui-derange

Le développement de technologies vertes telles que les éoliennes reposent sur les « terres rares », dont l’exploitation en Chine se fait dans des conditions sanitaires et environnementales scandaleuses

L’appellation « terres rares » regroupe un ensemble de 17 éléments chimiquescomprenant le scandium, l’yttrium et les 15 lanthanides (en gros tous les éléments chimiques allant du numéro atomique 57 au 71). Évidemment, à moins de maitriser la chimie comme un Walter White, ces éléments ne vous disent probablement rien. Pourtant, ceux-ci sont présents en petites quantités depuis longtemps dans la plupart des produits high-tech qui garnissent notre quotidien.

Si le développement des nouvelles technologies tend à pousser la demande de terres rares à la hausse, une industrie s’est nettement démarquée du lot pour sa demande exponentielle de terres rares ces dernières années : j’ai nommé l’industrie éolienne ! Pourquoi donc ?

Comme vous le voyez ci-dessus, une éolienne cache dans ses entrailles toute une panoplie d’équipements dont un alternateur à aimants permanents. Ces fameux aimants permanents – extrêmement couteux au passage – sont généralement en partie composés d’un alliage de terres rares (néodyme-fer-boredans la majorité des cas, avec de plus petites quantités de dyprosium et de praséodyme). Ainsi, pour fabriquer une éolienne de 3 MW, la compagnie Frontier Rare Earths, spécialisée dans le domaine des terres rares, cite des quantités de terres rares allant jusqu’à 2 700 kg ! Avec le développement de l’éolien au niveau mondial, l’industrie des terres rares s’attend donc à une demande de plus 8 000 tonnes de la part de l’industrie éolienne en 2014.

Sur la route des terres rares…

Si les terres rares sont assez uniformément réparties au sein de la croûte terrestre (on en a trouvé sur tous les continents), la Chine en est aujourd’hui incontestablement le premier producteur mondial avec 97% de part de marché ! D’autant plus surprenant quand on sait que jusqu’au cours des années 80, les États-Unis étaient les premiers producteurs mondiaux avec le dépôt de Mountain Pass en Californie.

Dans un marché en pleine augmentation comme celui-ci, comment les Chinois ont-ils fait pour conquérir la quasi-totalité du gâteau ? En broyant les prix, pardi ! Et là, arrive la question qui fâche : comment ont-ils broyé les prix ? Tout d’abord, la main d’œuvre chinoise est relativement abordable, même si les mineurs travaillant dans le domaine des terres rares sont relativement mieux payés que leurs compatriotes (£145 par mois en 2010, d’après un envoyé spécial du Daily Mail). En fait, le gros des économies réalisées par les compagnies minières chinoises vient du non-respect systématique de l’environnement et de la sécurité de leurs travailleurs, et comme vous allez le voir, la situation est réellement peu réjouissante.

En Chine communiste, les informations sensibles sont strictement contrôlées. De fait, il est extrêmement dur d’accéder aux fameuses mines de terres rares et encore plus ardu d’en ramener des images. Cependant, le Daily Mail a réussi à réaliser deux reportages exclusifs dans l’une d’elles, en Mongolie Intérieure en 2010, reportage dont j’aimerais reprendre ici les faits saillants et les images.

Photo 1 : mine de Baiyun Obo en Mongolie Intérieure. La mine fournit 77% de la demande mondiale en terbium et néodyme.

En ce qui concerne l’extraction des terres rares, celle-ci a lieu dans des conditions complètement impensables pour un Occidental, je me permets ici de traduire un passage du reportage du Daily Mail :

À l’intérieur de l’usine, de l’acide sulfurique à ébullition coule dans des tranchées ouvertes et de la lave jaune en fusion jaillit des fourneaux rotatifs. L’air remplit de sulfure piquait les yeux et brûlait les poumons. Les vêtements des ouvriers étaient parsemés de tâches d’acide.

« On nous donne des uniformes au début mais ils se font rapidement ronger par l’acide » m’a dit un des travailleurs dont le pantalon était couvert de brûlures d’acide.

« On nous donne des gants et des masques. Mais les masques ne font pas grand chose. J’ai du mal à respirer après mes shifts de 12 heures. »

À l’intérieur de ces ateliers, les conditions de sécurité sont inadéquates et le matériel rudimentaire.

Évidemment, cette accumulation de négligences et d’irresponsabilité totale se devait de produire son lot d’effets pervers dans les régions minières de la Mongolie Intérieure. En premier lieu on pourrait citer le fait que tous les habitants de la région portent désormais des masques partoutoù ils vont, ou encore le fait que des villages entiers aient été déplacés, ou encore que les radiations radioactives du bassin de résidus (photo 2) sont 10 fois supérieures à ce que l’on mesure aux alentours (l’exploitation des terres rares met à nu des roches relativement radioactives habituellement enfouies). On pourrait encore parler des cas de cancer surabondants, des cas d’ostéoporoses, des enfants qui naissent avec des malformations osseuses, etc. En fait, dans cette région, c’est l’environnement entier qui est devenu inhabitable, même les eaux de surface ont été jugées impropres à l’irrigation ! Ce désastre environnemental, c’est le prix à payer pour produire du néodyme à des prix ridiculement bas comme les font les Chinois.

Voilà la face cachée de l’industrie éolienne, une industrie dont les produits, déjà hors de prix et peu performants, souvenez-vous, ne pourrait sûrement pas se relever d’une augmentation substantielle du prix des terres rares du fait de la mise en place de règles environnementales sérieuses en Chine. Alors, comme vous l’imaginez, dans l’industrie on se garde bien d’évoquer le sort des régions reculées de la Chine où le précieux néodyme est extrait dans des conditions absolument catastrophiques.

Une vérité qui dérange…

Devant un tel scandale sanitaire et environnemental, j’ai donc été curieux de connaître le point de vue des grosses organisations environnementales de ce monde (Greenpeace, WWF, Environmental Defense, etc.) sur le sujet.

Chez Greenpeace :

Apparemment, chez Greenpeace, le néodyme, ça n’évoque rien, essayons à nouveau :

Rien non plus… Visiblement, chez Greenpeace le scandale des terres rares en Chine, on ne connait pas. Étrange, pas la moindre publication, photo, vidéo ou dépêche…

Essayons chez le WWF :

Chou blanc encore… J’ai essayé avec les mots clés « rare earths mining China » mais le moteur de recherche se bornait à me sortir une liste d’animaux en danger n’ayant rien à voir avec le sujet. Essayons encore ! Chez Environmental Defence maintenant :

À force de recherche, j’ai bien fini par trouver quelques références au problème des terres rares en Chine sur quelques rares sites d’ONG (ex : le site des Amis de la Terre). Mais, là encore, peu de détails, et surtout aucun lien entre cette industrie et l’industrie éolienne. Pourquoi donc ce silence assourdissant des ONGs, elles qui savent d’ordinaire si bien attirer notre attention et nous sensibiliser à différentes causes ?

Prenons le cas de Greenpeace par exemple, chez Greenpeace, on est pourtant bien conscient des problèmes environnementaux que peuvent soulever les exploitations minières, la preuve, le mot « mining » renvoie 493 résultats :

Pourquoi donc ce silence radio sur une catastrophe environnementale dont les proportions sont largement supérieures à la moyenne des affaires traitées par Greenpeace ? Eh bien, une bonne partie de la réponse réside sûrement dans le fait que Greenpeace s’est ouvertement posé en porte-étendard de l’industrie éoliennepartout dans le monde. On peut légitimement être estomaqué par le cynisme de la position de Greenpeace (et des autres ONGs d’ailleurs) pour qui le soutient sans faille à l’industrie éolienne passe par une omerta totale sur les méfaits environnementaux qui bénéficient aux fabricants d’éoliennes. Imaginer un instant un scandale pareil bénéficiant de près ou de loin à l’industrie pétrolière. Quelle serait la réaction de Greenpeace & Co ? Entre l’industrie éolienne et les autres industries, c’est décidément deux poids, deux mesures.

Mais pourquoi donc se faire du souci quand on est pro-éolien ? L’éolien c’est green, c’est hype, c’est solidaire ! Pas comme les vilaines énergies fossiles aux mains de multinationales qui puent l’ultra-libéralisme ! Mais surtout, les pauvres Chinois qui vivent la dure réalité de la transition énergétique au jour le jour sont si loin, pourquoi s’en inquiéter ? Bref, au train où vont les choses, les mâts d’éoliennes n’ont pas finis d’être érigés dans nos campagnes, au grand profit de nouveaux capitalistes façon Al Gore : la main gauche dans le pot de confiture des subventions étatiques, la main droite en train de signer des contrats pour vendre ce qu’ils ont eux-mêmes fait subventionner, le tout les fesses assises dans un jet privé pour aller à l’autre bout du monde informer la populace de l’impérieuse nécessité d’amorcer la transition énergétique à grands frais. Il parait qu’on appelle ça l’économie verte…

Ah oui...Tu voulais que j'aborde les batteries...

Attends ça arrive.

Par

En réponse à §ker138XV

les milliers de ZOZO invendables de 2013 2014 planqués sur les nombreux parcs sont-elle comptabilisées?

   

ya beaucoup d'invendues thermiques , ya meme des avions de transports stockés ds le Nevada aux US. les images satellites ne manquent pas ...

Par

En réponse à mekinsy

seulement 3.2 millions de VE et lorsqu'on constate le niveau de pollution actuel du à la fabrication des batteries...Ca laisse songeur. :roll:

Mais on me dit à l'oreillette que ce n'est pas grave car il s'agit de lieux pollués à plusieurs milliers de kilomètres de la France. :coucou:

Donc tout va bien dans le meilleur des mondes. :fleur:

   

Le soir tu sais , tu vas o lit tu t'endords tranquilou et ben ya des centrales nucléaires qui peuvent pétées à tous moment , comme des groseilles , tu souffriras pas si t à côté....

Par

En réponse à Hybridation

Et vous constatez quoi au juste ? Et que constatez-vous pour l'exploitation pétrolière ? Et pour l'exploitation du plomb des batteries 12V qui ne vous a pas gêné le moins du monde jusque là ?

   

Ça fait 20ans que je m'intéresse à l'écologie (Kyoto 97 lorsque les états unis ont refusé de signer.)

A cette époque, le réchauffement climatique divisait la communauté scientifique à 50/50.

20ans plus tard, pas un scientifique sérieux ne nie le réchauffement climatique.

La seule chose qui peut encore faire débat et encore, c'est:

Est ce que le réchauffement climatique clairement constate est du à l'activité humaine ?

Pour la majorité des scientifiques ça ne fait aucun doute.

Alors que fait on ?

Et bien on continue le désastre mais sous une autre forme... (Voir mes deux commentaires ci dessus.)

Grosso modo 1 milliard d'êtres humains ont accès à un confort de vie au minimum équivalent à un couple de smicard français...

On est 7.3 milliards actuellement et on sera 10 milliards d'ici 2050.

Si on n'accepte pas de baisser notre niveau de vie, on va faire comment ???

A moins qu'egoistement tu souhaites que seulement 1/10 ème des êtres humains aient accès à un certain confort de vie. (Qui n'est pas forcément exceptionnel...)

Auquel cas...Il faudra quand même baisser notre niveau de vie !! (Car actuellement il est beaucoup trop élevé pour notre planète...On a besoin d'un peu plus de deux planètes bleu par an au niveau des ressources.)

Tu commences à saisir l'enjeu ou toujours pas ? :bah:

Par

En réponse à pxidr

Ah parce que les batteries Li-ion sont uniquement utilisées par les VE?

   

On est sur un forum automobile à la base... :wink:

Même si je suis un adepte du hors sujet, je ne vois pas pourquoi j'aurais évoqué la pollution des smartphones, tablettes, ordinateurs portables et j'en passe et des meilleurs si nous continuions à rouler en VT.

Il se trouve que la on va pour la majorité d'entre nous rouler en électrique d'ici 20/30 ans.

Alors oui, d'ici la, je pense que le lithium ion sera de l'histoire ancienne mais actuellement et pour les 5/10 prochaines années à venir ce ne sera pas le cas.

Donc il est fort probable que durant ce laps de temps on multiplie le 3.2 millions par 10. :eek:

La taille d'une batterie auto n'est pas comparable à celle d'un smartphone et même si on en fabrique beaucoup plus chaque année, je pense que la demande pour le transport électrique va faire exploser la consommation. (Et encore je ne compte pas les camions...)

La preuve étant le doublement du prix en l'espace de seulement 1 an !

J'ai vraiment l'impression que l'on accélère de plus en plus vite contre ce mur qui se rapproche déjà à toute vitesse:tourne:...Et ce qui m'inquiète le plus, c'est que je ne pense pas que les grands décideurs de la planète ne pourront pas l'éviter. :nanana:

En fait, je suis sur que l'on ne pourra pas l'éviter. :non:

Par

En réponse à

Commentaire supprimé.

   

Déjà il ne faut pas te prendre pour le nombril du monde.

Un VE avec une autonomie de 200 km, ça suffit à beaucoup de gens qui souhaitent seulement faire leur trajets quotidiens domicile/travail, sans payer le carburant ni sans se coltiner toutes les pannes/entretien d'un véhicule thermique. Ces mêmes gens ont d'ailleurs très souvent un second véhicule thermique pour partir en vacances.

Par §ape044IY

En réponse à

Commentaire supprimé.

   

Boah d'un autre côté la Zoé a plus d'autonomie que ta Ligier. Quand est-ce que tu passes ton permis?

Par §jac318vp

En réponse à mekinsy

seulement 3.2 millions de VE et lorsqu'on constate le niveau de pollution actuel du à la fabrication des batteries...Ca laisse songeur. :roll:

Mais on me dit à l'oreillette que ce n'est pas grave car il s'agit de lieux pollués à plusieurs milliers de kilomètres de la France. :coucou:

Donc tout va bien dans le meilleur des mondes. :fleur:

   

tu parle des pays et fond marins polluées par les puits de pétrole et ceux souillés par les vidanges et gaz d'échappement, des raffineries des camions citernes .......la liste est encore longue ?

Par §jac318vp

En réponse à §ape044IY

Boah d'un autre côté la Zoé a plus d'autonomie que ta Ligier. Quand est-ce que tu passes ton permis?

   

ou va tu cher une zoé à 25000 euro moi la mienne de 2013 je l'ai payée neuve 12500euros alors renseigne toi avant de raconter des anneries

Par §jac318vp

En réponse à

Commentaire supprimé.

   

ou va tu cher une zoé à 25000 euro moi la mienne de 2013 je l'ai payée neuve 12500euros alors renseigne toi avant de raconter des anneries

Par

Mekinsy : ah que ça fait du bien :)

Merci.

Par

En réponse à

Commentaire supprimé.

   

c'est quoi ça ?

Par

En réponse à mekinsy

https://www.contrepoints.org/2013/11/05/145159-eoliennes-terres-rares-et-desastre-environnemental-une-verite-qui-derange

Le développement de technologies vertes telles que les éoliennes reposent sur les « terres rares », dont l’exploitation en Chine se fait dans des conditions sanitaires et environnementales scandaleuses

L’appellation « terres rares » regroupe un ensemble de 17 éléments chimiquescomprenant le scandium, l’yttrium et les 15 lanthanides (en gros tous les éléments chimiques allant du numéro atomique 57 au 71). Évidemment, à moins de maitriser la chimie comme un Walter White, ces éléments ne vous disent probablement rien. Pourtant, ceux-ci sont présents en petites quantités depuis longtemps dans la plupart des produits high-tech qui garnissent notre quotidien.

Si le développement des nouvelles technologies tend à pousser la demande de terres rares à la hausse, une industrie s’est nettement démarquée du lot pour sa demande exponentielle de terres rares ces dernières années : j’ai nommé l’industrie éolienne ! Pourquoi donc ?

Comme vous le voyez ci-dessus, une éolienne cache dans ses entrailles toute une panoplie d’équipements dont un alternateur à aimants permanents. Ces fameux aimants permanents – extrêmement couteux au passage – sont généralement en partie composés d’un alliage de terres rares (néodyme-fer-boredans la majorité des cas, avec de plus petites quantités de dyprosium et de praséodyme). Ainsi, pour fabriquer une éolienne de 3 MW, la compagnie Frontier Rare Earths, spécialisée dans le domaine des terres rares, cite des quantités de terres rares allant jusqu’à 2 700 kg ! Avec le développement de l’éolien au niveau mondial, l’industrie des terres rares s’attend donc à une demande de plus 8 000 tonnes de la part de l’industrie éolienne en 2014.

Sur la route des terres rares…

Si les terres rares sont assez uniformément réparties au sein de la croûte terrestre (on en a trouvé sur tous les continents), la Chine en est aujourd’hui incontestablement le premier producteur mondial avec 97% de part de marché ! D’autant plus surprenant quand on sait que jusqu’au cours des années 80, les États-Unis étaient les premiers producteurs mondiaux avec le dépôt de Mountain Pass en Californie.

Dans un marché en pleine augmentation comme celui-ci, comment les Chinois ont-ils fait pour conquérir la quasi-totalité du gâteau ? En broyant les prix, pardi ! Et là, arrive la question qui fâche : comment ont-ils broyé les prix ? Tout d’abord, la main d’œuvre chinoise est relativement abordable, même si les mineurs travaillant dans le domaine des terres rares sont relativement mieux payés que leurs compatriotes (£145 par mois en 2010, d’après un envoyé spécial du Daily Mail). En fait, le gros des économies réalisées par les compagnies minières chinoises vient du non-respect systématique de l’environnement et de la sécurité de leurs travailleurs, et comme vous allez le voir, la situation est réellement peu réjouissante.

En Chine communiste, les informations sensibles sont strictement contrôlées. De fait, il est extrêmement dur d’accéder aux fameuses mines de terres rares et encore plus ardu d’en ramener des images. Cependant, le Daily Mail a réussi à réaliser deux reportages exclusifs dans l’une d’elles, en Mongolie Intérieure en 2010, reportage dont j’aimerais reprendre ici les faits saillants et les images.

Photo 1 : mine de Baiyun Obo en Mongolie Intérieure. La mine fournit 77% de la demande mondiale en terbium et néodyme.

En ce qui concerne l’extraction des terres rares, celle-ci a lieu dans des conditions complètement impensables pour un Occidental, je me permets ici de traduire un passage du reportage du Daily Mail :

À l’intérieur de l’usine, de l’acide sulfurique à ébullition coule dans des tranchées ouvertes et de la lave jaune en fusion jaillit des fourneaux rotatifs. L’air remplit de sulfure piquait les yeux et brûlait les poumons. Les vêtements des ouvriers étaient parsemés de tâches d’acide.

« On nous donne des uniformes au début mais ils se font rapidement ronger par l’acide » m’a dit un des travailleurs dont le pantalon était couvert de brûlures d’acide.

« On nous donne des gants et des masques. Mais les masques ne font pas grand chose. J’ai du mal à respirer après mes shifts de 12 heures. »

À l’intérieur de ces ateliers, les conditions de sécurité sont inadéquates et le matériel rudimentaire.

Évidemment, cette accumulation de négligences et d’irresponsabilité totale se devait de produire son lot d’effets pervers dans les régions minières de la Mongolie Intérieure. En premier lieu on pourrait citer le fait que tous les habitants de la région portent désormais des masques partoutoù ils vont, ou encore le fait que des villages entiers aient été déplacés, ou encore que les radiations radioactives du bassin de résidus (photo 2) sont 10 fois supérieures à ce que l’on mesure aux alentours (l’exploitation des terres rares met à nu des roches relativement radioactives habituellement enfouies). On pourrait encore parler des cas de cancer surabondants, des cas d’ostéoporoses, des enfants qui naissent avec des malformations osseuses, etc. En fait, dans cette région, c’est l’environnement entier qui est devenu inhabitable, même les eaux de surface ont été jugées impropres à l’irrigation ! Ce désastre environnemental, c’est le prix à payer pour produire du néodyme à des prix ridiculement bas comme les font les Chinois.

Voilà la face cachée de l’industrie éolienne, une industrie dont les produits, déjà hors de prix et peu performants, souvenez-vous, ne pourrait sûrement pas se relever d’une augmentation substantielle du prix des terres rares du fait de la mise en place de règles environnementales sérieuses en Chine. Alors, comme vous l’imaginez, dans l’industrie on se garde bien d’évoquer le sort des régions reculées de la Chine où le précieux néodyme est extrait dans des conditions absolument catastrophiques.

Une vérité qui dérange…

Devant un tel scandale sanitaire et environnemental, j’ai donc été curieux de connaître le point de vue des grosses organisations environnementales de ce monde (Greenpeace, WWF, Environmental Defense, etc.) sur le sujet.

Chez Greenpeace :

Apparemment, chez Greenpeace, le néodyme, ça n’évoque rien, essayons à nouveau :

Rien non plus… Visiblement, chez Greenpeace le scandale des terres rares en Chine, on ne connait pas. Étrange, pas la moindre publication, photo, vidéo ou dépêche…

Essayons chez le WWF :

Chou blanc encore… J’ai essayé avec les mots clés « rare earths mining China » mais le moteur de recherche se bornait à me sortir une liste d’animaux en danger n’ayant rien à voir avec le sujet. Essayons encore ! Chez Environmental Defence maintenant :

À force de recherche, j’ai bien fini par trouver quelques références au problème des terres rares en Chine sur quelques rares sites d’ONG (ex : le site des Amis de la Terre). Mais, là encore, peu de détails, et surtout aucun lien entre cette industrie et l’industrie éolienne. Pourquoi donc ce silence assourdissant des ONGs, elles qui savent d’ordinaire si bien attirer notre attention et nous sensibiliser à différentes causes ?

Prenons le cas de Greenpeace par exemple, chez Greenpeace, on est pourtant bien conscient des problèmes environnementaux que peuvent soulever les exploitations minières, la preuve, le mot « mining » renvoie 493 résultats :

Pourquoi donc ce silence radio sur une catastrophe environnementale dont les proportions sont largement supérieures à la moyenne des affaires traitées par Greenpeace ? Eh bien, une bonne partie de la réponse réside sûrement dans le fait que Greenpeace s’est ouvertement posé en porte-étendard de l’industrie éoliennepartout dans le monde. On peut légitimement être estomaqué par le cynisme de la position de Greenpeace (et des autres ONGs d’ailleurs) pour qui le soutient sans faille à l’industrie éolienne passe par une omerta totale sur les méfaits environnementaux qui bénéficient aux fabricants d’éoliennes. Imaginer un instant un scandale pareil bénéficiant de près ou de loin à l’industrie pétrolière. Quelle serait la réaction de Greenpeace & Co ? Entre l’industrie éolienne et les autres industries, c’est décidément deux poids, deux mesures.

Mais pourquoi donc se faire du souci quand on est pro-éolien ? L’éolien c’est green, c’est hype, c’est solidaire ! Pas comme les vilaines énergies fossiles aux mains de multinationales qui puent l’ultra-libéralisme ! Mais surtout, les pauvres Chinois qui vivent la dure réalité de la transition énergétique au jour le jour sont si loin, pourquoi s’en inquiéter ? Bref, au train où vont les choses, les mâts d’éoliennes n’ont pas finis d’être érigés dans nos campagnes, au grand profit de nouveaux capitalistes façon Al Gore : la main gauche dans le pot de confiture des subventions étatiques, la main droite en train de signer des contrats pour vendre ce qu’ils ont eux-mêmes fait subventionner, le tout les fesses assises dans un jet privé pour aller à l’autre bout du monde informer la populace de l’impérieuse nécessité d’amorcer la transition énergétique à grands frais. Il parait qu’on appelle ça l’économie verte…

Ah oui...Tu voulais que j'aborde les batteries...

Attends ça arrive.

   

Vous avez remporté l'élection du plus gros pavé de l'année 2018!¡

Par

Essaie de te souvenir de cet article Monoski : tu y retrouveras de sacrés pavés pour célébrer dignement les 50 ans de mai 68. :bien:

Par

En réponse à roc et gravillon

Essaie de te souvenir de cet article Monoski : tu y retrouveras de sacrés pavés pour célébrer dignement les 50 ans de mai 68. :bien:

   

En fait, je me demande si les gens savent cliquer sur les liens que l'on met parfois...

Donc la je colle carrément l'article. :buzz:

Ils ne pourront pas exprimer le fait qu'ils ne savaient pas. :langue:

Surtout que l'article sur les éoliennes est assez explicite et plutôt bien construit. :jap:

(Bon j'avoue que je n'avais pas le temps d'en prendre des extraits...:ange:)

Par

En réponse à §jac318vp

ou va tu cher une zoé à 25000 euro moi la mienne de 2013 je l'ai payée neuve 12500euros alors renseigne toi avant de raconter des anneries

   

La moins chère des ZOE est à 23 700 euros aujourd'hui, cela fait un gros écart avec la votre achetée il y a 5 ans environ.

C'est de l'inflation à plus de 75% non ? 15 % par an.

Par

En réponse à oxmose

Vous avez remporté l'élection du plus gros pavé de l'année 2018!¡

   

Je réponds sur votre post pour éviter de reprendre ces copiés-collés délirants. Le lithium n'st pas forcément l'avenir puisque des prototypes de batteries "solid state" sont développées à base de sodium ou de magnésium par exemple. Quant aux "terres rares dans les éoliennes" on est en plein fantasme. Il existe des aimants néodyme par exemple depuis des années dans tous les moteurs électriques. Et BMW vante ses modèles électriques sur des videos Youtube comme "sans terres rares"...

Par

En réponse à gordini12

D'ou sort tu ces chiffres ?

   

Les ventes d'hybrides Toyota ont fait l'objet de plusieurs articles Caradisiac à l'occasion du vingtième anniversaire de cette technologie. Pour avoir les données à la source : https://newsroom.toyota.co.jp/en/detail/14940871/

Par

En réponse à Hybridation

Je réponds sur votre post pour éviter de reprendre ces copiés-collés délirants. Le lithium n'st pas forcément l'avenir puisque des prototypes de batteries "solid state" sont développées à base de sodium ou de magnésium par exemple. Quant aux "terres rares dans les éoliennes" on est en plein fantasme. Il existe des aimants néodyme par exemple depuis des années dans tous les moteurs électriques. Et BMW vante ses modèles électriques sur des videos Youtube comme "sans terres rares"...

   

Surtout qu'en fait les éoliennes sont équipées de machines asynchrones, le rotor n'a pas d'aimants en terres rares.

Par §nou418ps

En réponse à mekinsy

seulement 3.2 millions de VE et lorsqu'on constate le niveau de pollution actuel du à la fabrication des batteries...Ca laisse songeur. :roll:

Mais on me dit à l'oreillette que ce n'est pas grave car il s'agit de lieux pollués à plusieurs milliers de kilomètres de la France. :coucou:

Donc tout va bien dans le meilleur des mondes. :fleur:

   

"seulement 3.2 millions de VE et lorsqu'on constate le niveau de pollution actuel du à la fabrication des batteries...Ca laisse songeur. :roll:"

Ok..

Et pour faire rouler 3,2 Millions de véhicules thermiques ,

l'extraction et le raffinage du petrol ca implique quoi ?

Je te rapelle que ca fait maintenant des années que nous sommes à deux doigts d'une guerre mondiale

et que les morts se compte en millions juste pour le contrôle des ressources de petrol, mais en effet

l'electrique c'est surement bien pire....

Par

En réponse à §nou418ps

"seulement 3.2 millions de VE et lorsqu'on constate le niveau de pollution actuel du à la fabrication des batteries...Ca laisse songeur. :roll:"

Ok..

Et pour faire rouler 3,2 Millions de véhicules thermiques ,

l'extraction et le raffinage du petrol ca implique quoi ?

Je te rapelle que ca fait maintenant des années que nous sommes à deux doigts d'une guerre mondiale

et que les morts se compte en millions juste pour le contrôle des ressources de petrol, mais en effet

l'electrique c'est surement bien pire....

   

Il n'y aura jamais de 3eme guerre mondiale.

Du moins pas comme tu le penses.

Ce qu'il y aura, c'est soit un effondrement de notre civilisation, soit une division en deux camps bien distinct.

Tout le monde craint une guerre nucléaire (Qui rayerait en quelques minutes/mois la quasi totalité de l'espèce humaine.)

En revanche, personne ne peut se passer d'un certain confort de vie.

Pire, on cherche sans cesse à l'améliorer au détriment de notre qualité de vie.

Rien ne pourra empêcher cela.

C'est acté.

Alors oui, on peut faire la balance entre différents modes d'énergies...Et jouer au qui mieux/mieux.

Seulement la réalité, c'est qu'on épuise toutes nos ressources les unes après les autres...A une cadence toujours plus rapide.

Tu ne vois pas que le monde s'est emballé ?

Personne ne le voit ?

Même les pseudos écolos sont complètements à côté de la plaque.

Éoliennes.

Panneaux photovoltaïques.

Mais qui a pris la peine de faire le calcul pour savoir combien de panneaux/éoliennes il faudrait pour couvrir seulement 50% des besoins de l'humanité ?

Quelles ressources nécessaires à la réalisation de ces derniers ?

344 000 panneaux photo voltaïques pour couvrir les besoins d'une ville de seulement 50 000 habitants.

Et il s'agit uniquement de la fourniture d'énergie...

On peut aussi causer de son utilisation.

On évoque des voitures électrique et des camions électriques...

Des bus ?

Des drones ?

Des robots ? (Car oui, les robots auront aussi besoin d'énergie électrique.)

Mais où va t'on trouver la matière première pour fabriquer tout ça ?

Jusqu'où va t'on détruire cette planète avant d'ouvrir enfin les yeux ?

Crois moi, tout ce joli (Enfin de moins en moins) monde va soit s'écrouler comme un château de carte, soit subir une profonde et violente mutation en l'espace de quelques années. :bah:

Il est strictement impossible de croître à l'infini dans un monde fini.

Et encore moins en l'état de notre technologie actuelle et de celle que nous pourrions atteindre d'ici la deuxième partie de ce siècle.

Par

En réponse à Hybridation

Les ventes d'hybrides Toyota ont fait l'objet de plusieurs articles Caradisiac à l'occasion du vingtième anniversaire de cette technologie. Pour avoir les données à la source : https://newsroom.toyota.co.jp/en/detail/14940871/

   

et qui se passent de moteur essence pendant la moitié de leur fonctionnement. Leur apport la pureté de l'air est donc équivalent à 5 millions d'électriques...

C'est de cela que je parle, pas de la propagande Toyota!

Par §zor808bO

la pollution actuelle des véhicule thermique c'est de gnognotte avec celle que l'on va voir avec les batteries en fin de vie.

Par §zor808bO

En réponse à mekinsy

Il n'y aura jamais de 3eme guerre mondiale.

Du moins pas comme tu le penses.

Ce qu'il y aura, c'est soit un effondrement de notre civilisation, soit une division en deux camps bien distinct.

Tout le monde craint une guerre nucléaire (Qui rayerait en quelques minutes/mois la quasi totalité de l'espèce humaine.)

En revanche, personne ne peut se passer d'un certain confort de vie.

Pire, on cherche sans cesse à l'améliorer au détriment de notre qualité de vie.

Rien ne pourra empêcher cela.

C'est acté.

Alors oui, on peut faire la balance entre différents modes d'énergies...Et jouer au qui mieux/mieux.

Seulement la réalité, c'est qu'on épuise toutes nos ressources les unes après les autres...A une cadence toujours plus rapide.

Tu ne vois pas que le monde s'est emballé ?

Personne ne le voit ?

Même les pseudos écolos sont complètements à côté de la plaque.

Éoliennes.

Panneaux photovoltaïques.

Mais qui a pris la peine de faire le calcul pour savoir combien de panneaux/éoliennes il faudrait pour couvrir seulement 50% des besoins de l'humanité ?

Quelles ressources nécessaires à la réalisation de ces derniers ?

344 000 panneaux photo voltaïques pour couvrir les besoins d'une ville de seulement 50 000 habitants.

Et il s'agit uniquement de la fourniture d'énergie...

On peut aussi causer de son utilisation.

On évoque des voitures électrique et des camions électriques...

Des bus ?

Des drones ?

Des robots ? (Car oui, les robots auront aussi besoin d'énergie électrique.)

Mais où va t'on trouver la matière première pour fabriquer tout ça ?

Jusqu'où va t'on détruire cette planète avant d'ouvrir enfin les yeux ?

Crois moi, tout ce joli (Enfin de moins en moins) monde va soit s'écrouler comme un château de carte, soit subir une profonde et violente mutation en l'espace de quelques années. :bah:

Il est strictement impossible de croître à l'infini dans un monde fini.

Et encore moins en l'état de notre technologie actuelle et de celle que nous pourrions atteindre d'ici la deuxième partie de ce siècle.

   

la scission mondiale sera religieuse (islam), les guerres civiles viendrons de là

Par

ca fait combien de decennies que les bagnoles thermiques polluent en centaines de milliards de tonnes de particules la planete ?

Bon, quand ca fera aussi longtemps que les elec auront été produites, on pourra comparer.

Mais en fait, meme caradisiac , dénigreur assumé et petit chien chien porteur de la parole des constructeurs , ne pourra en faire un article. Car quand viendra ce jour ou on aura porduit autant de thermiques poubelles nocives et d'elec, on ne parlera plus du tout des thermiques?

Par

En réponse à pxidr

C'est peut-être tout simplement les retours de LLD.

Mais bon l'objectivité et toi et ta fixette sur Renault...

   

Laisse courir, il est peut-être cocu dans le vrai sens du terme, donc ça fout des complexes.

Par

En réponse à mekinsy

https://www.contrepoints.org/2013/11/05/145159-eoliennes-terres-rares-et-desastre-environnemental-une-verite-qui-derange

Le développement de technologies vertes telles que les éoliennes reposent sur les « terres rares », dont l’exploitation en Chine se fait dans des conditions sanitaires et environnementales scandaleuses

L’appellation « terres rares » regroupe un ensemble de 17 éléments chimiquescomprenant le scandium, l’yttrium et les 15 lanthanides (en gros tous les éléments chimiques allant du numéro atomique 57 au 71). Évidemment, à moins de maitriser la chimie comme un Walter White, ces éléments ne vous disent probablement rien. Pourtant, ceux-ci sont présents en petites quantités depuis longtemps dans la plupart des produits high-tech qui garnissent notre quotidien.

Si le développement des nouvelles technologies tend à pousser la demande de terres rares à la hausse, une industrie s’est nettement démarquée du lot pour sa demande exponentielle de terres rares ces dernières années : j’ai nommé l’industrie éolienne ! Pourquoi donc ?

Comme vous le voyez ci-dessus, une éolienne cache dans ses entrailles toute une panoplie d’équipements dont un alternateur à aimants permanents. Ces fameux aimants permanents – extrêmement couteux au passage – sont généralement en partie composés d’un alliage de terres rares (néodyme-fer-boredans la majorité des cas, avec de plus petites quantités de dyprosium et de praséodyme). Ainsi, pour fabriquer une éolienne de 3 MW, la compagnie Frontier Rare Earths, spécialisée dans le domaine des terres rares, cite des quantités de terres rares allant jusqu’à 2 700 kg ! Avec le développement de l’éolien au niveau mondial, l’industrie des terres rares s’attend donc à une demande de plus 8 000 tonnes de la part de l’industrie éolienne en 2014.

Sur la route des terres rares…

Si les terres rares sont assez uniformément réparties au sein de la croûte terrestre (on en a trouvé sur tous les continents), la Chine en est aujourd’hui incontestablement le premier producteur mondial avec 97% de part de marché ! D’autant plus surprenant quand on sait que jusqu’au cours des années 80, les États-Unis étaient les premiers producteurs mondiaux avec le dépôt de Mountain Pass en Californie.

Dans un marché en pleine augmentation comme celui-ci, comment les Chinois ont-ils fait pour conquérir la quasi-totalité du gâteau ? En broyant les prix, pardi ! Et là, arrive la question qui fâche : comment ont-ils broyé les prix ? Tout d’abord, la main d’œuvre chinoise est relativement abordable, même si les mineurs travaillant dans le domaine des terres rares sont relativement mieux payés que leurs compatriotes (£145 par mois en 2010, d’après un envoyé spécial du Daily Mail). En fait, le gros des économies réalisées par les compagnies minières chinoises vient du non-respect systématique de l’environnement et de la sécurité de leurs travailleurs, et comme vous allez le voir, la situation est réellement peu réjouissante.

En Chine communiste, les informations sensibles sont strictement contrôlées. De fait, il est extrêmement dur d’accéder aux fameuses mines de terres rares et encore plus ardu d’en ramener des images. Cependant, le Daily Mail a réussi à réaliser deux reportages exclusifs dans l’une d’elles, en Mongolie Intérieure en 2010, reportage dont j’aimerais reprendre ici les faits saillants et les images.

Photo 1 : mine de Baiyun Obo en Mongolie Intérieure. La mine fournit 77% de la demande mondiale en terbium et néodyme.

En ce qui concerne l’extraction des terres rares, celle-ci a lieu dans des conditions complètement impensables pour un Occidental, je me permets ici de traduire un passage du reportage du Daily Mail :

À l’intérieur de l’usine, de l’acide sulfurique à ébullition coule dans des tranchées ouvertes et de la lave jaune en fusion jaillit des fourneaux rotatifs. L’air remplit de sulfure piquait les yeux et brûlait les poumons. Les vêtements des ouvriers étaient parsemés de tâches d’acide.

« On nous donne des uniformes au début mais ils se font rapidement ronger par l’acide » m’a dit un des travailleurs dont le pantalon était couvert de brûlures d’acide.

« On nous donne des gants et des masques. Mais les masques ne font pas grand chose. J’ai du mal à respirer après mes shifts de 12 heures. »

À l’intérieur de ces ateliers, les conditions de sécurité sont inadéquates et le matériel rudimentaire.

Évidemment, cette accumulation de négligences et d’irresponsabilité totale se devait de produire son lot d’effets pervers dans les régions minières de la Mongolie Intérieure. En premier lieu on pourrait citer le fait que tous les habitants de la région portent désormais des masques partoutoù ils vont, ou encore le fait que des villages entiers aient été déplacés, ou encore que les radiations radioactives du bassin de résidus (photo 2) sont 10 fois supérieures à ce que l’on mesure aux alentours (l’exploitation des terres rares met à nu des roches relativement radioactives habituellement enfouies). On pourrait encore parler des cas de cancer surabondants, des cas d’ostéoporoses, des enfants qui naissent avec des malformations osseuses, etc. En fait, dans cette région, c’est l’environnement entier qui est devenu inhabitable, même les eaux de surface ont été jugées impropres à l’irrigation ! Ce désastre environnemental, c’est le prix à payer pour produire du néodyme à des prix ridiculement bas comme les font les Chinois.

Voilà la face cachée de l’industrie éolienne, une industrie dont les produits, déjà hors de prix et peu performants, souvenez-vous, ne pourrait sûrement pas se relever d’une augmentation substantielle du prix des terres rares du fait de la mise en place de règles environnementales sérieuses en Chine. Alors, comme vous l’imaginez, dans l’industrie on se garde bien d’évoquer le sort des régions reculées de la Chine où le précieux néodyme est extrait dans des conditions absolument catastrophiques.

Une vérité qui dérange…

Devant un tel scandale sanitaire et environnemental, j’ai donc été curieux de connaître le point de vue des grosses organisations environnementales de ce monde (Greenpeace, WWF, Environmental Defense, etc.) sur le sujet.

Chez Greenpeace :

Apparemment, chez Greenpeace, le néodyme, ça n’évoque rien, essayons à nouveau :

Rien non plus… Visiblement, chez Greenpeace le scandale des terres rares en Chine, on ne connait pas. Étrange, pas la moindre publication, photo, vidéo ou dépêche…

Essayons chez le WWF :

Chou blanc encore… J’ai essayé avec les mots clés « rare earths mining China » mais le moteur de recherche se bornait à me sortir une liste d’animaux en danger n’ayant rien à voir avec le sujet. Essayons encore ! Chez Environmental Defence maintenant :

À force de recherche, j’ai bien fini par trouver quelques références au problème des terres rares en Chine sur quelques rares sites d’ONG (ex : le site des Amis de la Terre). Mais, là encore, peu de détails, et surtout aucun lien entre cette industrie et l’industrie éolienne. Pourquoi donc ce silence assourdissant des ONGs, elles qui savent d’ordinaire si bien attirer notre attention et nous sensibiliser à différentes causes ?

Prenons le cas de Greenpeace par exemple, chez Greenpeace, on est pourtant bien conscient des problèmes environnementaux que peuvent soulever les exploitations minières, la preuve, le mot « mining » renvoie 493 résultats :

Pourquoi donc ce silence radio sur une catastrophe environnementale dont les proportions sont largement supérieures à la moyenne des affaires traitées par Greenpeace ? Eh bien, une bonne partie de la réponse réside sûrement dans le fait que Greenpeace s’est ouvertement posé en porte-étendard de l’industrie éoliennepartout dans le monde. On peut légitimement être estomaqué par le cynisme de la position de Greenpeace (et des autres ONGs d’ailleurs) pour qui le soutient sans faille à l’industrie éolienne passe par une omerta totale sur les méfaits environnementaux qui bénéficient aux fabricants d’éoliennes. Imaginer un instant un scandale pareil bénéficiant de près ou de loin à l’industrie pétrolière. Quelle serait la réaction de Greenpeace & Co ? Entre l’industrie éolienne et les autres industries, c’est décidément deux poids, deux mesures.

Mais pourquoi donc se faire du souci quand on est pro-éolien ? L’éolien c’est green, c’est hype, c’est solidaire ! Pas comme les vilaines énergies fossiles aux mains de multinationales qui puent l’ultra-libéralisme ! Mais surtout, les pauvres Chinois qui vivent la dure réalité de la transition énergétique au jour le jour sont si loin, pourquoi s’en inquiéter ? Bref, au train où vont les choses, les mâts d’éoliennes n’ont pas finis d’être érigés dans nos campagnes, au grand profit de nouveaux capitalistes façon Al Gore : la main gauche dans le pot de confiture des subventions étatiques, la main droite en train de signer des contrats pour vendre ce qu’ils ont eux-mêmes fait subventionner, le tout les fesses assises dans un jet privé pour aller à l’autre bout du monde informer la populace de l’impérieuse nécessité d’amorcer la transition énergétique à grands frais. Il parait qu’on appelle ça l’économie verte…

Ah oui...Tu voulais que j'aborde les batteries...

Attends ça arrive.

   

bien argumenté, réaliste, je te félicite pour ta recherche. Je ne peux qu'approuver ton discours.:jap:

Maintenant, les solutions ne sont pas simples. Mais des solutions existent-elles au moins ? Pour ma part la meilleure des alternatives étaient, car trop tard maintenant, limiter la population dans le monde, mieux vaut vivre peu nombreux heureux, que trop peuplé et probablement plus malheureux.

Les lobbies, toujours les lobbies, et oui dans tous les domaines ils se foutent de la population, la première en ligne étant l'industrie pharmaceutique, pour moi une des pire de toutes. Là n'est pas le sujet.

Des solutions d'énergie verte existent-elles ? l'énergie noire ?

Au final, que peut-on faire ? rien, si ce n'est subir ou effectuer une décroissance.

Par

En réponse à mekinsy

Ça fait 20ans que je m'intéresse à l'écologie (Kyoto 97 lorsque les états unis ont refusé de signer.)

A cette époque, le réchauffement climatique divisait la communauté scientifique à 50/50.

20ans plus tard, pas un scientifique sérieux ne nie le réchauffement climatique.

La seule chose qui peut encore faire débat et encore, c'est:

Est ce que le réchauffement climatique clairement constate est du à l'activité humaine ?

Pour la majorité des scientifiques ça ne fait aucun doute.

Alors que fait on ?

Et bien on continue le désastre mais sous une autre forme... (Voir mes deux commentaires ci dessus.)

Grosso modo 1 milliard d'êtres humains ont accès à un confort de vie au minimum équivalent à un couple de smicard français...

On est 7.3 milliards actuellement et on sera 10 milliards d'ici 2050.

Si on n'accepte pas de baisser notre niveau de vie, on va faire comment ???

A moins qu'egoistement tu souhaites que seulement 1/10 ème des êtres humains aient accès à un certain confort de vie. (Qui n'est pas forcément exceptionnel...)

Auquel cas...Il faudra quand même baisser notre niveau de vie !! (Car actuellement il est beaucoup trop élevé pour notre planète...On a besoin d'un peu plus de deux planètes bleu par an au niveau des ressources.)

Tu commences à saisir l'enjeu ou toujours pas ? :bah:

   

Que penses tu de l'expert suisse Werner Munter ?

Pour ma part aussi, je m'intéresse à l'écologie depuis quelques années, j'ai mis en pratique certaines choses comme construire une maison passive pour limiter mon impact en consommant moins d'énergie. Maintenant, je sais que ma consommation est largement supérieur à d'autres personnes dans le monde, utilisation du téléphone portable pour le boulot, ordinateur, véhicule.................mais que faire si ce n'est retourner vivre en montagne et devenir autonome, et même cela ne résoudra pas tous les problèmes.

Par

En réponse à §zor808bO

la scission mondiale sera religieuse (islam), les guerres civiles viendrons de là

   

là je ne peux qu'être d'accord également, les religions de guerre comme l'Islam (la seule religion de guerre) poseront (a) bien plus de problèmes dans un futur proche.

Par

En réponse à mekinsy

https://www.contrepoints.org/2013/11/05/145159-eoliennes-terres-rares-et-desastre-environnemental-une-verite-qui-derange

Le développement de technologies vertes telles que les éoliennes reposent sur les « terres rares », dont l’exploitation en Chine se fait dans des conditions sanitaires et environnementales scandaleuses

L’appellation « terres rares » regroupe un ensemble de 17 éléments chimiquescomprenant le scandium, l’yttrium et les 15 lanthanides (en gros tous les éléments chimiques allant du numéro atomique 57 au 71). Évidemment, à moins de maitriser la chimie comme un Walter White, ces éléments ne vous disent probablement rien. Pourtant, ceux-ci sont présents en petites quantités depuis longtemps dans la plupart des produits high-tech qui garnissent notre quotidien.

Si le développement des nouvelles technologies tend à pousser la demande de terres rares à la hausse, une industrie s’est nettement démarquée du lot pour sa demande exponentielle de terres rares ces dernières années : j’ai nommé l’industrie éolienne ! Pourquoi donc ?

Comme vous le voyez ci-dessus, une éolienne cache dans ses entrailles toute une panoplie d’équipements dont un alternateur à aimants permanents. Ces fameux aimants permanents – extrêmement couteux au passage – sont généralement en partie composés d’un alliage de terres rares (néodyme-fer-boredans la majorité des cas, avec de plus petites quantités de dyprosium et de praséodyme). Ainsi, pour fabriquer une éolienne de 3 MW, la compagnie Frontier Rare Earths, spécialisée dans le domaine des terres rares, cite des quantités de terres rares allant jusqu’à 2 700 kg ! Avec le développement de l’éolien au niveau mondial, l’industrie des terres rares s’attend donc à une demande de plus 8 000 tonnes de la part de l’industrie éolienne en 2014.

Sur la route des terres rares…

Si les terres rares sont assez uniformément réparties au sein de la croûte terrestre (on en a trouvé sur tous les continents), la Chine en est aujourd’hui incontestablement le premier producteur mondial avec 97% de part de marché ! D’autant plus surprenant quand on sait que jusqu’au cours des années 80, les États-Unis étaient les premiers producteurs mondiaux avec le dépôt de Mountain Pass en Californie.

Dans un marché en pleine augmentation comme celui-ci, comment les Chinois ont-ils fait pour conquérir la quasi-totalité du gâteau ? En broyant les prix, pardi ! Et là, arrive la question qui fâche : comment ont-ils broyé les prix ? Tout d’abord, la main d’œuvre chinoise est relativement abordable, même si les mineurs travaillant dans le domaine des terres rares sont relativement mieux payés que leurs compatriotes (£145 par mois en 2010, d’après un envoyé spécial du Daily Mail). En fait, le gros des économies réalisées par les compagnies minières chinoises vient du non-respect systématique de l’environnement et de la sécurité de leurs travailleurs, et comme vous allez le voir, la situation est réellement peu réjouissante.

En Chine communiste, les informations sensibles sont strictement contrôlées. De fait, il est extrêmement dur d’accéder aux fameuses mines de terres rares et encore plus ardu d’en ramener des images. Cependant, le Daily Mail a réussi à réaliser deux reportages exclusifs dans l’une d’elles, en Mongolie Intérieure en 2010, reportage dont j’aimerais reprendre ici les faits saillants et les images.

Photo 1 : mine de Baiyun Obo en Mongolie Intérieure. La mine fournit 77% de la demande mondiale en terbium et néodyme.

En ce qui concerne l’extraction des terres rares, celle-ci a lieu dans des conditions complètement impensables pour un Occidental, je me permets ici de traduire un passage du reportage du Daily Mail :

À l’intérieur de l’usine, de l’acide sulfurique à ébullition coule dans des tranchées ouvertes et de la lave jaune en fusion jaillit des fourneaux rotatifs. L’air remplit de sulfure piquait les yeux et brûlait les poumons. Les vêtements des ouvriers étaient parsemés de tâches d’acide.

« On nous donne des uniformes au début mais ils se font rapidement ronger par l’acide » m’a dit un des travailleurs dont le pantalon était couvert de brûlures d’acide.

« On nous donne des gants et des masques. Mais les masques ne font pas grand chose. J’ai du mal à respirer après mes shifts de 12 heures. »

À l’intérieur de ces ateliers, les conditions de sécurité sont inadéquates et le matériel rudimentaire.

Évidemment, cette accumulation de négligences et d’irresponsabilité totale se devait de produire son lot d’effets pervers dans les régions minières de la Mongolie Intérieure. En premier lieu on pourrait citer le fait que tous les habitants de la région portent désormais des masques partoutoù ils vont, ou encore le fait que des villages entiers aient été déplacés, ou encore que les radiations radioactives du bassin de résidus (photo 2) sont 10 fois supérieures à ce que l’on mesure aux alentours (l’exploitation des terres rares met à nu des roches relativement radioactives habituellement enfouies). On pourrait encore parler des cas de cancer surabondants, des cas d’ostéoporoses, des enfants qui naissent avec des malformations osseuses, etc. En fait, dans cette région, c’est l’environnement entier qui est devenu inhabitable, même les eaux de surface ont été jugées impropres à l’irrigation ! Ce désastre environnemental, c’est le prix à payer pour produire du néodyme à des prix ridiculement bas comme les font les Chinois.

Voilà la face cachée de l’industrie éolienne, une industrie dont les produits, déjà hors de prix et peu performants, souvenez-vous, ne pourrait sûrement pas se relever d’une augmentation substantielle du prix des terres rares du fait de la mise en place de règles environnementales sérieuses en Chine. Alors, comme vous l’imaginez, dans l’industrie on se garde bien d’évoquer le sort des régions reculées de la Chine où le précieux néodyme est extrait dans des conditions absolument catastrophiques.

Une vérité qui dérange…

Devant un tel scandale sanitaire et environnemental, j’ai donc été curieux de connaître le point de vue des grosses organisations environnementales de ce monde (Greenpeace, WWF, Environmental Defense, etc.) sur le sujet.

Chez Greenpeace :

Apparemment, chez Greenpeace, le néodyme, ça n’évoque rien, essayons à nouveau :

Rien non plus… Visiblement, chez Greenpeace le scandale des terres rares en Chine, on ne connait pas. Étrange, pas la moindre publication, photo, vidéo ou dépêche…

Essayons chez le WWF :

Chou blanc encore… J’ai essayé avec les mots clés « rare earths mining China » mais le moteur de recherche se bornait à me sortir une liste d’animaux en danger n’ayant rien à voir avec le sujet. Essayons encore ! Chez Environmental Defence maintenant :

À force de recherche, j’ai bien fini par trouver quelques références au problème des terres rares en Chine sur quelques rares sites d’ONG (ex : le site des Amis de la Terre). Mais, là encore, peu de détails, et surtout aucun lien entre cette industrie et l’industrie éolienne. Pourquoi donc ce silence assourdissant des ONGs, elles qui savent d’ordinaire si bien attirer notre attention et nous sensibiliser à différentes causes ?

Prenons le cas de Greenpeace par exemple, chez Greenpeace, on est pourtant bien conscient des problèmes environnementaux que peuvent soulever les exploitations minières, la preuve, le mot « mining » renvoie 493 résultats :

Pourquoi donc ce silence radio sur une catastrophe environnementale dont les proportions sont largement supérieures à la moyenne des affaires traitées par Greenpeace ? Eh bien, une bonne partie de la réponse réside sûrement dans le fait que Greenpeace s’est ouvertement posé en porte-étendard de l’industrie éoliennepartout dans le monde. On peut légitimement être estomaqué par le cynisme de la position de Greenpeace (et des autres ONGs d’ailleurs) pour qui le soutient sans faille à l’industrie éolienne passe par une omerta totale sur les méfaits environnementaux qui bénéficient aux fabricants d’éoliennes. Imaginer un instant un scandale pareil bénéficiant de près ou de loin à l’industrie pétrolière. Quelle serait la réaction de Greenpeace & Co ? Entre l’industrie éolienne et les autres industries, c’est décidément deux poids, deux mesures.

Mais pourquoi donc se faire du souci quand on est pro-éolien ? L’éolien c’est green, c’est hype, c’est solidaire ! Pas comme les vilaines énergies fossiles aux mains de multinationales qui puent l’ultra-libéralisme ! Mais surtout, les pauvres Chinois qui vivent la dure réalité de la transition énergétique au jour le jour sont si loin, pourquoi s’en inquiéter ? Bref, au train où vont les choses, les mâts d’éoliennes n’ont pas finis d’être érigés dans nos campagnes, au grand profit de nouveaux capitalistes façon Al Gore : la main gauche dans le pot de confiture des subventions étatiques, la main droite en train de signer des contrats pour vendre ce qu’ils ont eux-mêmes fait subventionner, le tout les fesses assises dans un jet privé pour aller à l’autre bout du monde informer la populace de l’impérieuse nécessité d’amorcer la transition énergétique à grands frais. Il parait qu’on appelle ça l’économie verte…

Ah oui...Tu voulais que j'aborde les batteries...

Attends ça arrive.

   

Oui et??? tout ça pour dire quoi??? tu crois que le reste de l'extraction minière mondiale se fait dans de meilleures conditions???

En passant les terres rares ne servent pas qu'aux éoliennes qui une fois construites ne polluent pas pendant des années, (le néodyme à un magnétisme qui dure 400 ans), l’électronique, TV plate, la téléphonie et les ordinateurs en bouffent beaucoup plus... donc arrête de te servir de ton ordinateur, téléphone portable et TV...

Dans cet article on comprends bien que ces conditions d'exploitation désastreuses sont directement liées à du dumping, on ne paye rien pour casser les prix, faire faire faillite à la concurrence et prendre le marché, tu crois franchement qu'ils ne le font qu'avec ça??? le dénoncer c'est bien par contre en profiter pour empêcher le renouvelable parce que ça en dérange les intérêts de certains comme pour le VE c de la manipulation...

Toute la stratégie économique Chinoise est basé sur le transfert technologique et le dumping, t pas au courant??? et le prochain secteur à en faire les frais sera l'automobile, ils veulent le gâteau et ils l'auront si on les laissent faire...

Tu veux quoi un monde ou on ne produit rien et on ne fait rien??? ça me semble peu probable quand il faut faire bouffer 7 milliards d'individus, la question est plutôt comment produit mieux pour que ça ait un impacte négligeable sur notre environnement et de réduire les abus... la nature est capable d'absorber une certaine quantité de pollution, il faut arrêter de la massacrée et changer nos technologies point... un pays comme le Brésil c juste un exemple je n'ai rien contre les brésiliens, qu'est ce qu'ils sont capables de faire??? mis à part raser la foret Amazonienne pour planter de la canne à sucre et du soja sur des terres pauvres qu'on gave d'engrais Monsanto, absolument rien...

Des pays qui reposent uniquement sur une surexploitation de l'environnement ne sont pas viables... surtout concernant l’Amazonie qui est le poumon du monde, pareil pour la surexploitation de la pêche, des forets, etc... il faut changer de méthode pour avoir une chance de survivre... comment produire et se déplacer sans tout détruire ou en tout cas le moins possible? c ça la vraie question... on n’empêchera jamais les gens de se déplacer, de manger, et de travailler... arrête d’être naïf...

Par

En réponse à mdb92

Oui et??? tout ça pour dire quoi??? tu crois que le reste de l'extraction minière mondiale se fait dans de meilleures conditions???

En passant les terres rares ne servent pas qu'aux éoliennes qui une fois construites ne polluent pas pendant des années, (le néodyme à un magnétisme qui dure 400 ans), l’électronique, TV plate, la téléphonie et les ordinateurs en bouffent beaucoup plus... donc arrête de te servir de ton ordinateur, téléphone portable et TV...

Dans cet article on comprends bien que ces conditions d'exploitation désastreuses sont directement liées à du dumping, on ne paye rien pour casser les prix, faire faire faillite à la concurrence et prendre le marché, tu crois franchement qu'ils ne le font qu'avec ça??? le dénoncer c'est bien par contre en profiter pour empêcher le renouvelable parce que ça en dérange les intérêts de certains comme pour le VE c de la manipulation...

Toute la stratégie économique Chinoise est basé sur le transfert technologique et le dumping, t pas au courant??? et le prochain secteur à en faire les frais sera l'automobile, ils veulent le gâteau et ils l'auront si on les laissent faire...

Tu veux quoi un monde ou on ne produit rien et on ne fait rien??? ça me semble peu probable quand il faut faire bouffer 7 milliards d'individus, la question est plutôt comment produit mieux pour que ça ait un impacte négligeable sur notre environnement et de réduire les abus... la nature est capable d'absorber une certaine quantité de pollution, il faut arrêter de la massacrée et changer nos technologies point... un pays comme le Brésil c juste un exemple je n'ai rien contre les brésiliens, qu'est ce qu'ils sont capables de faire??? mis à part raser la foret Amazonienne pour planter de la canne à sucre et du soja sur des terres pauvres qu'on gave d'engrais Monsanto, absolument rien...

Des pays qui reposent uniquement sur une surexploitation de l'environnement ne sont pas viables... surtout concernant l’Amazonie qui est le poumon du monde, pareil pour la surexploitation de la pêche, des forets, etc... il faut changer de méthode pour avoir une chance de survivre... comment produire et se déplacer sans tout détruire ou en tout cas le moins possible? c ça la vraie question... on n’empêchera jamais les gens de se déplacer, de manger, et de travailler... arrête d’être naïf...

   

Dort tranquille, la pollution n'arrivera pas chez toi!

Par

En réponse à gordini12

Dort tranquille, la pollution n'arrivera pas chez toi!

   

D'accord avec Mdb92, c'est bien beau de dire que construire une voiture, même électrique, pollue, et que l'on peut pas construire une batterie sans extraire des métaux et polluer mais c'est l'arbre qui cache la forêt.

C'est oublier l'impact d'obtenir du pétrole, avec des forages de plus en plus profond, des transports de tanker, du raffinage, du pompage, encore du transport jusqu'à la pompe...

C'est oublier qu'une batterie se recycle beaucoup plus facilement qu'un moteur thermique constitué de milliers de pièces différentes de métaux différents.

C'est oublier le bénéfice à l'usage où on n'a plus aucune pollution et beaucoup moins de rejet de CO².

Bref, dire que le VE n'est pas parfait, c'est de mauvaise foi quand on sait que c'est déjà un ENORME pas en avant en terme de pollution et rejet de gaz à effet de serre.

 

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