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Essai Harley-Davidson Forty-Eight 2015 : révisons nos classiques

Dans Moto / Nouveauté

Pauline Rachwal

Essai Harley-Davidson Forty-Eight 2015 : révisons nos classiques

Suite à notre entretien avec Gérard Staedelin, nous avions appris que sur le podium des ventes d'Harley-Davidson se trouvait le Sportster Forty-Eight, une des entrées de gamme 1200 de la marque américaine. Si on ajoute à cela l'apparition de quelques améliorations depuis notre dernier essai, il était temps pour nous de nous repencher sur une de celles qui font battre le cœur des Français.


Entre son prix bien plus abordable qu'un Touring, un look plus badass que ses sœurs et qui est responsable, avec l'Iron 883, du rajeunissement de la clientèle de la firme, la Forty-Eight (ou XL48) propose l'accès à un custom qui pourrait bien vous surprendre quant à ses capacités sur la route. Mais nous n'en sommes pas encore là et c'est sous un soleil brûlant en Haute-Savoie que je récupère la machine.


Essai Harley-Davidson Forty-Eight 2015 : révisons nos classiques


D'un point de vue général, il suffira d'un coup d'œil pour savoir qu'il appartient à la gamme Sportster. Son petit et étroit réservoir fait partie des codes esthétiques incontournables, mais contrairement à l'ancienne version 1200, le 48 est affaissé au niveau de la roue arrière (et un bras oscillant plus long) et les cale-pieds sont partis sur l'avant comme un véritable custom. Bien dommage pour les fans de l'ancienne génération (Harley-Davidson 1200 Nightster), qui comme moi, préféreront le côté typé roadster que la gamme confère à l'origine. Ceux qui d'ailleurs voudraient opter pour des commandes reculées se verront confrontés aux soucis du placement des pots d'échappements d'origine, attention au moment du choix ! Sur le reste du look, le coloris noir brillant, lui confère un style assez discret, nous préférons les options pailletées disponibles au catalogue (bleu, jaune et rouge). Les finitions sont propres, même si certaines dispositions de câbles laissent à désirer. On retrouve beaucoup d'équipements communs avec celui de l'Iron, comme les rétroviseurs, le guidon, les leviers et le compteur, qui pour ce dernier, se résume au compteur de vitesse, un témoin de réserve, deux trip partiels et un total, une horloge et un compte-tours avec shifter intégré. Ce dernier se gère avec le commodos « trip » situé à gauche du guidon.

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Sur les nouveautés apportées à ce millésime (2014/15), on notera la mise en place du HD Smart ou système de démarrage sans clé et l'apparition de l'ABS en version de série. Au grand désespoir des puristes qui préfèrent encore avoir une clé à placer sous le réservoir. De plus le système de freinage a été revu à l'avant avec un disque avant de 300 mm et un maître-cylindre en aluminium.


Du côté de la fiche technique, ce qui choque en premier lieu c'est la taille du réservoir : 7,95 litres, c'est 4,5 litres en moins que sa sœur l'Iron pour un moulin qui développe 15 chevaux de plus. Une aberration qui ne vous fera pas passer les 100 km d'autonomie. Un choix que nous avons du mal à saisir, hormis un simple choix esthétique. Idem sur les aspects pratiques, la configuration d'origine fera de vous le plus vilain(e) des égoïstes puisque la selle est monoplace et qu'il faudra lâcher les sous pour emmener avec vous votre sac de sable préféré ou encore espérer trouver une place sous la selle pour ranger un superbe gilet jaune, par exemple.


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La hauteur de selle de 710 mm conviendra à la grande majorité des gabarits, enfin avec un poil de muscles dans les bras pour bouger le poids de 255 kilos en état de marche. Je n'ai pas personnellement eu de mal dans les manœuvres ou encore sur un béquillage optimiste dans la pente. Vive la centralisation des masses vers le bas !


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