Voilà une entaille faite à la sacro sainte « italianité » chère à nos voisins transalpins. Jusque là, l'alliance entre les pilotes et les enseignes, de même qu'entre les industries automobile et moto ne souffraient d'aucune équivoque au-delà des Alpes. Fiat a soutenu Valentino Rossi chez Yamaha.