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Salon de Genève 2016 - Les tops et les flops de la rédaction (vidéo)

Dans Salons / Salon de Genève

Claude Barreau

Comme à l'occasion de chaque salon, les journalistes de Caradisiac vous présentent leurs coups de coeur et leurs déceptions. Des petites autos de plage aux supercars, il y en a pour tous les goûts.

Salon de Genève 2016 - Les tops et les flops de la rédaction (vidéo)

Alexandre Bataille a craqué pour l'Alfa Romeo Giuila qu'il trouve très séduisante. Autre argument : il aime bien l'idée qu'Alfa Romeo puisse venir, avec ce modèle, taquiner l'ordre établi. Alexandre ne serait pas étonné, en effet, que cette Guilia donne du fil à retordre sur ce segment des Premium à Audi, BMW et Mercedes. Pour sa déception, Alexandre s'attarde moins sur un modèle que sur une tendance. Les 4X4 se vendent bien depuis plusieurs années maintenant et il ne peut constater que cette sorte de mode étouffe un peu la créativité de certains constructeurs qui se contentent trop souvent de s'engouffrer dans ce créneau lucratif.

Salon de Genève 2016 - Les tops et les flops de la rédaction (vidéo)

Salon de Genève 2016 - Les tops et les flops de la rédaction (vidéo)

 

 

Le plus jeune de la troupe, Audric Doche, a flashé, lui, sur la Volvo V90. Audric apprécie les breaks et il ne peut être que séduit par  ce modèle, à la fois esthétique et pratique. Quant à son flop, c'est l'Abarth 124 qui  l'a déçue, contrairement par exemple à Pierre-Olivier Marie. Ce qui est notamment rédhibitoire, pour Audric, c'est son prix : 40 000 euros !

François Chapus, notre respecté doyen, aurait pu de son côté s'enthousiasmer sur l'un des nombreux supercars présents à Genève, mais non, c'est sur un modèle a priori anodin qu'il a jeté son dévolu : une voiture de plage électrique, une petite française née dans les Vosges. Son nom : la Bee-Bee. A l'opposé, avec une approche très consumériste, François n'apprécie pas la stratégie "toujours plus" de Buggati qui avec sa Chiron commercialise une auto à un tarif stratosphérique (2,4 millions d'euros).

Manuel Cailliot se projette dans l'avenir en plébiscitant un concept-car, celui de la Honda Civic, modèle dont il a aimé les versions précédentes. Et c'est la Kia Niro qui  revanche ne récolte pas ses suffrages. Manuel n'a pas été convaincu, ni par l'extérieur, ni par l'intérieur de la voiture.

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Olivier Pagès, pour sa part, ne tarit pas d'éloges sur le nouveau Renault Scénic. Bien que n'aimant pas les "bétaillères", Olivier nous dit être prêt à l'acheter tant il le trouve élégant et dynamique. Une preuve que tout n'est pas une question d'argent dans la vie ? Olivier chérit le Scénic et rejette la Lamborghini Centenario au motif que la course à l'aérodynamisme en a fait une auto peu esthétique.

Pierre Desjardins, lui, est carrément tombé amoureux d'un concept Morgan, la EV3, dont il apprécie..... tout ! Sa déception concerne Aston Martin et sa dernière DB11 dont il estime qu'elle n'est qu'une pâle évolution du dernier modèle de la marque.

Enfin, Pierre-Olivier Marie, se serait bien encanaillé sur des petits lacets de montagne au volant de la 124 Spider de chez Abarth. Quant à son flop, Pierre-Olivier Marie s'attaque avec sévérité au préparateur Mansory auquel il reproche de saccager parmi les plus belles voitures au monde.

 

 

 

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