On connaît en général les chiffres d'immatriculations par modèles. Moins répandus sont ceux par type de carrosserie ou par gamme. Faisons un point pour le marché français au premier semestre 2006.

Immatriculations par carrosseries en pourcentage (2002, 2003, 2004, 2005, 1er semestre 2006): Berlines: 69,1; 64,5; 59,4; 58,5; 61,0 Breaks: 7,0; 7,3; 6,8; 7,0; 6,8 Coupés cabriolets: 2,7; 2,7; 3,4; 2,9; 3,0 Monospaces compacts: 11,2; 12,2; 14,5; 13,7; 13,3 Monospaces: 2,3; 3,1; 2,7; 2,3; 2,1 Minispaces et combispaces: 3,7; 5,3; 7,6; 9,4; 7,9 Divers (dont TT): 4,0; 4,9; 5,6; 6,2; 5,9

On retiendra, sans surprise, une forte diminution de la part des berlines au profit conjugué des monospaces compacts, minispaces/combispaces et divers (comprenant les fameux SUV).

Immatriculations par gamme en pourcentage (1er semestre 2005 et 1er semestre 2006) Economique: 0,8 / 3,3 Inférieure: 36,0 / 38,7 Moyenne inférieure: 35,5 / 33,0 Moyenne supérieure: 11,8 / 10,1 Supérieure: 5,5 / 4,7 Luxe: 1,4 / 1,3 Divers: 9,0 / 8,9

On notera cette fois-ci la très forte progression des "économiques" (+305,7 %). Pendant ce temps-là, moyennes supérieures et supérieures souffrent avec des reculs respectifs de 15,6 % et 15,9%. Les Français trouvent les voitures neuves trop chères, ce sont dont les petites et les voitures d'occasion qui en profitent.

Source: CCFA