
Les constructeurs japonais sont des rivaux sur de nombreux segments, mais il existe aussi une sorte d'unité nationale lorsqu'il faut s'associer pour partager les coûts sur d'importants projets.
Les constructeurs japonais sont des rivaux sur de nombreux segments, mais il existe aussi une sorte d'unité nationale lorsqu'il faut s'associer pour partager les coûts sur d'importants projets.
Acheter purement et simplement un modèle pour y glisser son logo devient monnaie courante. À l'heure où la bascule vers l'électrique exige des investissements faramineux, à l'heure aussi où il faut coûte que coûte baisser sa moyenne de C02, cette pratique est appelée à se développer. Suzuki et Mazda en passent déjà par là, qui vont faire leurs courses chez un troisième nippon : Toyota.
Mazda ne s'attendait probablement pas à un tel engouement pour son dernier moteur essence, baptisé Skyactiv X. La marque a confié qu'en Europe, 60 % de la demande sur Mazda 3 était pour cette motorisation, et 45 % sur le CX-30.
Quels sont les constructeurs qui souffriront le plus du malus mis en place le 1er janvier prochain en France ? Selon un cabinet d'étude, il s'agit de Porsche, Alfa Romeo, mais aussi Mazda, Jeep ou encore Fiat et Ford.
Alors que de plus en plus de constructeurs justifient la présence de la boîte automatique par la forte demande, chez Mazda, on annonce que plus de trois quarts des clients de MX-5 optent pour la transmission manuelle. Un bilan plutôt logique, toutefois, sur une telle auto.
Ce moteur n'avait été confirmé que pour les Etats-Unis, mais finalement, le Japon va également y avoir droit. Mazda met en effet à jour son SUV CX-5 sur son marché domestique avec quelques nouveautés comme la boîte manuelle pour le diesel et surtout le 2.5 turbo de 230 ch du CX-9.
Il n’y a pas que les pays émergents qui attirent les constructeurs automobiles. Être une nation déjà industrialisée, ce n’est pas être condamnée à l’obsolescence programmée. La preuve avec les États-Unis qui se remettent du traumatisme du déclin d’une ville de Detroit autrefois toute puissante dans le monde des voitures. Celui-ci prend racine ailleurs et notamment dans un Sud-Est qui se donne les moyens de séduire. Et qui, en plus, à une approche particulière du domaine social puisque les syndicats, jugés « néfastes » pour la prospérité par les responsables politiques, sont quasiment absents. Mazda et Toyota, comme d’autres, l’ont bien compris…
Plus de 1 000 Mazda MX-5 ont été vendus dans l'Hexagone depuis janvier. La version RF avec toit en dur a autant de succès que la variante à capote souple.
Le rachat d’Opel par PSA a peut-être ouvert la voie à d’autres fusions ou absorptions dans le monde de l’automobile. Parce que certains constructeurs sont plus fragiles que d’autres. Parce qu’après deux années de bons bénéfices, certains disposent du cash suffisant pour en racheter d’autres. Et parce que l’avenir et les nouvelles mobilités plaident pour une concentration des marques.
La production du Mazda CX-5 est lancée. Le dernier véhicule surélevé de la firme débarquera dans les showrooms de son marché domestique en février prochain. La date d'arrivé de la version européenne sur le Vieux Continent est en revanche encore inconnue.
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