l'INFO DU JOUR - La nouvelle norme CAFE (Corporate Average Fuel Economy) doit entrer en vigueur dès l’an prochain. Les constructeurs pensaient pouvoir respecter cette réglementation, qui exige des émissions moyennes des autos à 81 g, grâce aux électriques censées compenser les émissions de leurs thermiques. Mais la chute des ventes des autos à watts pourrait leur coûter des milliards d’amendes.
Après le calamiteux moteur PureTech et sa courroie cuite à l’huile voici l’airbag meurtrier des Citroën et son rappel au rabais. Mais Carlos Tavares maintient le cap : low cost à tous les étages.
L’INFO DU JOUR – Adepte de la réduction des coûts à tout prix, Carlos Tavares aurait trouvé le moyen de dépenser beaucoup moins d’argent dans le développement des nouveaux modèles par rapport aux groupes automobiles concurrents. Avec un risque de ne plus arriver aux mêmes standards de qualité ?
L'INFO DU JOUR - Pékin rend coup pour coup à Bruxelles. Après la volonté de taxer la viande porcine européenne et l'alcool, la Chine s'attaque directement aux constructeurs germaniques en souhaitant introduire de nouvelles taxes sur les moteurs thermiques, spécialité allemande.
L'INFO DU JOUR - Une simple petite phrase prononcée par Carlos Tavares et une note publiée par une banque d’affaires suffisent pour faire renaître le sentiment que le groupe aux 14 marques pourrait bien s’agrandir d’ici un an.
Élections européennes et dissolution de l'Assemblée Nationale : l'automobile au cœur de la tempête
250
BILLET D'HUMEUR. Si le séisme provoqué dimanche soir rebat les cartes politiques françaises et européennes, elle pourrait également changer la donne en matière de transition vers la voiture électrique dans l'Union, et modifier les usages français sur la route. Pour le meilleur ou le pire ?
Malgré les difficultés passagères et inévitables quand une telle révolution s’opère dans les mobilités du quotidien, rien n'arrêtera plus la transition vers le « zéro émission ». Voici pourquoi.
Les ennuis techniques s'accumulent pour le groupe. les réseaux s'en plaignent et la direction tente de temporiser en désignant des responsables.
L'un dirige le groupe Renault, l'autre est à la tête de Stellantis. Mais si Luca de Meo gagne un peu plus de 5 millions d'euros pour l'exercice 2023, Carlos Tavares peut compter sur un matelas de plus de 36 millions. Une différence qui correspond à des résultats certes incomparables. Sauf que tous deux ont dû affronter la fronde de 30 % de leurs actionnaires qui ont quelques reproches à leur faire.
Accueillir des usines chinoises en Europe permet, certes, de créer des emplois, mais à terme, le tapis rouge déployé pourrait en supprimer de nombreux autres.