Le très beau salaire de Carlos Tavares a du mal à passer. Plusieurs agences de conseil estiment que son montant est trop élevé par rapport au contexte économique actuel du groupe Stellantis.
S'exprimant à l'occasion du "Freedom of Mobility Forum" que son groupe organise, le Directeur général de Stellantis a notamment rappelé que la mobilité électrique ne pouvait pas être universelle. Bonne nouvelle, il estime aussi que le poids des batteries devrait être réduit de 50% dans les dix ans.
Conforté par les excellents résultats du groupe Stellantis en 2023, son directeur général a plus que doublé sa rémunération pour l'année dernière. Il devrait toucher au total 36,5 millions d'euros.
Pour la première fois, des automobilistes se mobilisent pour défendre le garage ou ils ont l'habitude d'acheter leurs voitures et de les entretenir, en l'occurrence, la succursale DS, Citroën et Peugeot du 15e arrondissement de Paris. Une enseigne du groupe Stellantis que ce dernier entend fermer, faisant fi de ses clients, de son histoire et de son prestigieux fondateur : Émile Darl'mat.
Le boss de Stellantis suscite toujours autant de rumeurs. Après celle de la fusion de son groupe avec Renault, surgit celle de sa succession. Et qui serait le mieux placé pour le remplacer si ce n'est le patron du losange ?
Après un succès que Bercy n'avait pas vu venir, le leasing social s'est arrêté. Dans la foulée, le ministère a annoncé un bonus 2024 racorni. Du côté de Stellantis, en revanche, pas de diète, avec 18,6 milliards de bénéfices pour l'exercice de l'an passé.
À l’occasion de la publication des résultats 2023 de Stellantis, Carlos Tavares a accordé un entretien à quelques médias dont Caradisiac. L’occasion de commenter l’actualité française, comme l’arrêt brutal du leasing social, mais aussi d’évoquer la conjoncture à venir et même son éventuelle succession en 2026.
Avec un bénéfice de 18,6 milliards d'euros pour 2024 et une marge opérationnelle de 12,8 % : tout va pour le mieux dans la galaxie de 14 marques. Mais les chiffres auraient pu être encore plus spectaculaires sans le léger fléchissement américain de l'automne dernier.
Le salon Rétromobile bat son plein jusqu'à demain soir. On y découvre des merveilles qui font polémiques, des sportives de rêves et des autos moins chères. Loin de la Porte de Versailles, le patron de Stellantis nourrit et laisse courir les rumeurs sur d'éventuelles fusions à venir.
Les prochaines échéances électorales, européennes et américaines, sont scrutées de près par l'industrie automobile. Son avenir est peut-être lié aux choix des électeurs lors des consultations de juin dans l'Union, et de novembre aux États-Unis. Explications.