Votre navigateur ne supporte pas le code JavaScript.
Logo Caradisiac    
Publi info

Acquéreur de la première Desmosedici française : trop de pression !

Dans Moto / Loisirs

Aymeric Zito

Acquéreur de la première Desmosedici française : trop de pression !

Avoir une Moto GP dans son garage, voilà le rêve de beaucoup de motards. Rouler avec sur la route, c'est carrément le fantasme ultime. Comme le génie de la lampe, Ducati a offert la possibilité à une poignée de rêveurs fortunés de transformer leur souhait en réalité : la Desmosedici RR. Il s'agit de la véritable machine de grand prix, à peine adaptée pour qu'elle puisse rouler sur routes ouvertes. Le premier français à en faire l'acquisition s'appelle Bruno Giblasse, il a réservé la sienne dès l'annonce de sa commercialisation. Mais le jour J, le jour qu'il avait tant attendu… ne s'est pas tout à fait passé comme prévu.


Acquéreur de la première Desmosedici française : trop de pression !


La Desmosedici RR, voilà un nom qui laisse songeur. Une machine de compétition tout juste homologuée. Sous ses petits yeux acérés se cache un V4 développant plus de 200 cv et conçu avec des matériaux de premier ordre. Un pièce d'orfèvrerie en série limitée, réservée à ceux qui ont décidé d'y mettre le prix : 55 000 €. Eh oui, rien que ça. Et c'est à la concession Brooklands Motors, en région parisienne, qu'un passionné d'italiennes est venu passer la commande. Le premier propriétaire français d'un de ces modèles hors catégorie. Bruno Giblasse, 48 ans, chauffeur poids lourd normand, acquéreur patient qui attend la venue de la Desmosedici comme celle du messie.


Abonnez-vous à la newsletter de Caradisiac

Recevez toute l’actualité automobile

L’adresse email, renseignée dans ce formulaire, est traitée par GROUPE LA CENTRALE en qualité de responsable de traitement.

Cette donnée est utilisée pour vous adresser des informations sur nos offres, actualités et évènements (newsletters, alertes, invitations et autres publications).

Si vous l’avez accepté, cette donnée sera transmise à nos partenaires, en tant que responsables de traitement, pour vous permettre de recevoir leur communication par voie électronique.

Vous disposez d’un droit d’accès, de rectification, d’effacement de ces données, d’un droit de limitation du traitement, d’un droit d’opposition, du droit à la portabilité de vos données et du droit d’introduire une réclamation auprès d’une autorité de contrôle (en France, la CNIL). Vous pouvez également retirer à tout moment votre consentement au traitement de vos données. Pour en savoir plus sur le traitement de vos données : www.caradisiac.com/general/confidentialite/

Acquéreur de la première Desmosedici française : trop de pression !


Ce n'est ni un golden boy qui s'offre un nouveau signe extérieur de richesse, ni un pistard chevronné qui veux faire un "vis-ma-vie de Capirossi". Non, juste un grand amateur de balades au guidon de sportives, ancien possesseur d'une Ducati 999 R, ce qui l'a rendu prioritaire pour l'achat de la Desmosedici RR. La commande a été passée en octobre 2004. On peut imaginer l'état de nerf qui résulte d'une telle attente. Ca doit être insurmontable. Chaque jour qui le séparait de la date de livraison devait ressembler à un siècle. Mais un beau matin, ce jour tant attendu fut arrivé… C'est la numéro 35 qui lui était réservée. Dieu soit loué.


Acquéreur de la première Desmosedici française : trop de pression !


Mais voilà, une moto si exceptionnelle, une attente si longue, il en découle une pression difficilement contrôlable. Sa venue à la concession pour récupérer son bolide ne s'est pas tout à fait déroulée discrètement : la presse était là pour immortaliser l'événement. L'enthousiasme, l'euphorie, la peur d'abîmer une si belle pièce… des sentiments ont du s'entremêler dans la tête de Bruno Giblasse qui, quelques mètres à peine après avoir quitté la concession, chute au guidon de sa Ducati Desmosedici RR flambant neuve. Il s'en sort indemne, heureusement. La pièce de collection, elle, a un peu souffert. Et "un peu souffert" doit quand même se traduire pour ce genre d'engins par quelques décimales sur la facture. Enfin, ce n'est que matériel. L'histoire de Bruno Giblasse est tout aussi originale que la moto elle-même, et nous espérons qu'une fois réparée, ils couleront des jours heureux sur les routes Normandes.


SPONSORISE

Actualité Ducati

Toute l'actualité

Commentaires ()

Déposer un commentaire