Malgré les revendications mises en avant par les motards le 13 mars dernier, il semblerait que les autorités n'ont que faire des deux-roues. Que ce soit les scooters ou les motos. Pour preuve, la région parisienne est en train de se transformer en véritable champ de mines pour les usagers en deux-roues.
Voilà une affaire qui suscite l'indignation des motards Norvégiens et de leur association, la NMCU (l'équivalent de la FFMC en France). L'histoire ? La cour de justice de Norvège a rendu un verdict plutôt contradictoire. Un automobiliste ayant renversé un motard s'est vu acquitté de ses responsabilités dans l'accident dont les blessures du motocycliste.
Le beau sexe et la moto, c'est une vaste histoire mais c'est aussi une prégnante question économique. Les Japonais et notamment Yamaha ont compris qu'il fallait travailler cette corde sensible au moment de l'achat et le Virago en a été la matérialisation en concession.
C'est un rapport que nos collègues d'auto plus ont mis en évidence dans leur dernière parution. On ne parlera pas des radars automatiques qui sont des véritables mines d'or pour les caisses de l'état. Mais une chose que les usagers de la route redoutent encore plus que les boites grises sont probablement les radars mobiles.
On sait que le stationnement à Paris, que ce soit pour les voitures ou les deux-roues n'est pas vraiment simple. Et malgré les 30 000 places pour deux-roues que la Mairie de Paris a fait installer et les 18 000 qui seront en création d'ici à 2014, cela ne suffit pas pour garer les 120 000 véhicules à deux-roues estimé dans la capitale.
Le printemps est la saison préférée des motards. Les jours rallongent, les températures montent doucement vers les 20 degrés, les ondées se font (un peu) moins présentes et de ce fait, le sourire revient aux lèvres des utilisateurs de deux roues.
Lors de ma participation à une hivernale il y a quelques semaines, j'en ai profité pour recueillir l'avis d'un motard lambda sur notre petit monde de la moto. Et comme je m'occupe (enfin, j'essaie! ! ) de la partie "moto ancienne" pour caradisiac, ben j'ai interviewé le plus ancien des participants!
Il n'a pas la prétention d'être un puits de science, mais son long vécu dans le monde de la moto et son approche bien particulière de ce qui l'entoure l'autorise à avoir une opinion limpide sur les événements et les hommes qui ont jalonné son parcours.
C'est un peu tiré par les cheveux même si, en la matière, on peut parler de crêpage de chignon. Le L ici mis à l'honneur ne présume en rien les tendances intimes mais il met plutôt l'accent sur trois prénoms féminins. Trois femmes qui ont néanmoins un point commun: leur réputation dans le monde de la moto.
C'est déjà le cas pour certaines parties de Londres ou dans des villes comme Singapour, Milan ou Oslo. Et l'idée en France fait petit à petit son chemin. En tout cas c'est ce qui se passe en ce moment avec cette mesure qui refait surface de temps à autre. Mais ce qui est sûr c'est qu'elle divise toujours autant la classe politique.
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