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MotoGp, et si l'orage éclatait ?

Dans Moto / Sport

David Jouguet

MotoGp, et si l'orage éclatait ?

Notre cher Patron de la Dorna, Carmelo Ezpeleta, nous a parlé beaucoup sécurité pour les MotoGP.


Depuis maintenant 3 saisons, le nouveau règlement en cas de pluie des moto GP fait que la course ne s'arrête pas, les pilotes changent de moto. Jusqu'ici cela s'est bien passé, pour l'instant, enfin à peu près, il y a eu de nombreuses chutes.


C'est déjà arrivé de mémoire trois fois, peu importe le nombre ce n'est pas le sujet, dont Le Mans l'an dernier.


Depuis une bonne dizaine d'années que je regarde tous les Grand Prix à la TV, 125, 250, 500 et maintenant MotoGP, il est arrivé à plusieurs reprises, en pleine chaleur écrasante, une situation particulière.


Pendant que la direction officielle de la course dans sa tour de vitres était sous un ciel bleu azur, à un kilomètre, à l'autre bout du circuit, l'orage éclatait déversant des trombes d'eau sur une partie du circuit surchauffé.

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En clair les pilotes passaient la ligne des stands sous le soleil, sur un goudron à plus de 55° pour se retrouver trente secondes plus loin en slick avec un demi-centimètre d'eau sous les roues. Les pilotes de tête levaient la main, pour arrêter la course, et signaler aux poursuivants le danger, eux seuls étant juges de leur sécurité.


Aujourd'hui, en de tel circonstances, plus que probable, que ce passera-t-il, puisque outre la surprise, l'homme de tête n'a plus le droit de stopper la course. Pire encore dans les premiers tours, situation encore plus dramatique quand les pilotes sont en paquet.


Il faudrait quand même que les pilotes puissent stopper la course dans ces conditions, voir même un commissaire agiter le drapeau rouge.


MotoGp, et si l'orage éclatait ?


Le plus dangeureux est-il d'arriver à 260 km/h d'une piste brulante à une patinoire ou de devoir gérer un peu plus de 200 CV sans assistance électronique.


A réfléchir.


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