Il est déjà temps de tirer le bilan de cette saison 2009 de Moto GP pour une usine Suzuki qui s'apprête à aborder les quatre derniers Grands Prix du calendrier avec la seule ambition de faire mieux que le meilleur classement jusqu'alors enregistré, soit une cinquième place.
Qui dit manifestation de Deux-Roues, dit forcément la présence de pilotes de MotoGP, de Superbike ou encore ceux qui ont marqué de leurs empreintes. Et bien aujourd'hui, trois grandes figures étaient à la rencontre de leurs plus fervents supporters.
Devenu le salon incontournable des amateurs de motos anciennes (et des autres), il se déroulera comme chaque année au parc floral de Paris, près du château de Vincennes. Le thème retenu pour l'exposition principale sera « les motos qui ont fait les rallyes africains ».
Depuis 20 ans, les pilotes Français sont très présents en championnat du monde de motocross avec beaucoup de succès et de nombreux titres mondiaux, ceci depuis les « miniverts ». Cela n'a pas toujours été le cas et il a bien fallu déblayer le terrain.
Vito Ippolito, le Président de la FIM, s'en est récemment inquiété en déclarant qu'il n'y avait pas que le Moto GP à souffrir de la crise.
Nous vous l'annoncions dès mercredi seize septembre et Lin Jarvis, l'homme des trois diapasons pour les Grands Prix le confirme sur MCN et aux médias britanniques émus de voir que leur James Toseland s'apprête à quitter le Moto GP. Et par la petite porte qui plus est car c'est Ben Spies qui fixera la date de son départ.
L'annonce a des airs de méthodes couet et pourtant, elle vient d'une sommité du monde de la moto, soit le Président de la Fédération Internationale de Motocyclisme lui-même.
On ne peut pas dire qu'il ait apprécié sa décision de préférer une Suzuki officielle à sa prochaine Ducati privée pour accéder à la catégorie Moto GP. Il faut avouer que même si, sportivement, le choix s'argumente sérieusement, il n'en demeure pas moins que Jorge Martinez a couvé Alvaro Bautsita jusque là, pour lui tracer une belle voie vers les sommets.
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Dans une période où les décideurs cherchent désespérément une solution pour gonfler les effectifs de la grille de départ du Moto GP, voilà un point de vue qui renvoie tout ce beau monde dans ses buts. Il vient d'un certain Valentino Rossi qui n'est pas le moins bien placé pour juger de l'évolution de son sport, et l'argument est à paraître sur Motociclismo.
« J'aurais préféré faire courir Espargaro ». Celui qui s'exprime ainsi n'est pas n'importe qui. Il s'agit de Paolo Campinoti, boss du team Pramac, du moins en apparence car les faits viennent de démontrer qu'il n'est pas maître chez lui.
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