
Dans la longue ligne droite du tracé du Mugello, il n'y avait vraiment rien à faire contre l'Aprilia RSA d'un Nicolas Terol pas trop maladroit. Johann Zarco l'a appris à ses dépens, lui qui est parti moyennement de sa position de pointe, pour se replacer, en trois virages, et avec une belle autorité, derrière le missile de l'équipe Aspar.