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Maintenant proche de son neuvième titre mondial, Valentino Rossi s'est quelque peu lâché en Malaisie sur ce qu'il pensait de ses diables d'adversaires qui lui mènent la vie dure. Jorge Lorenzo vu par le « Doctor » de même que Stoner et Pedrosa, voilà ce que cela donne.
Ils sont encore quatre en dix points et donc autant à espérer un titre à la fin de ce meeting de Portimao ce week-end. C'est l'autre épilogue prévu du paddock des Flammini et ce n'est pas une petite finale que l'on attend au Portugal, tant le peloton des Stock 600 est bouillant.
Il a déjà le titre en poche mais pour autant, il ne relâche pas la pression. Xavier Simeon s'est ainsi attribué la première séance libre d'une catégorie 1000 Superstock qui a plié sa saison depuis Magny Cours.
Avec dix neuf points d'avance au championnat, Cal Crutchlow n'a qu'à gérer pour s'attribuer le titre mondial d'une catégorie Supersport qu'il a largement dominé cette année du point de vue chronométrique.
Trois jours après qu'Aprilia ait annoncé son intention d'aligner à Portimao trois RSV4, dont une pour son pilote titulaire Nakano, qui a été forfait pendant deux meetings pour se faire soigner au Japon une blessure aux cervicales, la même firme de Noale fait volte face en décidant de laisser Shinya au repos.
Depuis 25 ans, la libre circulation sur le territoire est bafouée chaque jour. La circulation dans les chemins est devenue de plus en plus difficile et ce sont ceux qui n'y viennent jamais qui en sont le plus gênés. Depuis le même temps et même beaucoup plus en arrière, les remembrements des petites communes est une catastrophe.
Portimao est avec Sepang l'autre haut lieu de rendez-vous du sport moto ce week-end puisque le tracé portugais couronnera ce dimanche son Champion du Monde de la catégorie Superbike. Dix points séparent Haga et Spies au général, le Japonais ayant l'avantage, et après la première journée, c'est l'Américain à la Yamaha qui a pris l'initiative en pointant devant son rival à la Ducati.
La marque Rickman, du nom de ses deux fondateurs Don et Dereck, est surtout connue pour ses cadres fabriqués dés le début des années 60. Principalement équipés de moteurs d'anglaises, la production devra tenir compte de l'arrivée des motos japonaises dans les années soixante-dix.
Quatorzième, c'est certes un rang en adéquation avec sa plaque de carénage mais ce n'est pas avec ce genre d'harmonie que notre Randy De Puniet va impressionner ses adversaires pour la septième place finale au championnat.
Tout ce qui brille n'est pas d'or. C'est ainsi que l'on pourrait qualifier le paddock du Moto GP, dans sa généralité, un sanctuaire qui se veut être l'écrin du joyau d'un sport-moto qui s'accorde à considérer le milieu des Grands Prix comme l'élite.
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