2. Essai Bering Koato : ça roule !

Essai Bering Koato : faisons mieux connaissance.

PISTARD ET ROUTIER

Immédiatement en place, le gant se place sans efforts dirigeant instantanément les diverses protections rigides ou souples aux endroits choisis. Correctement maintenu via une bande en Rubber doublé de scratch, le gant manque cependant un peu d'ajustement pour être au top. Suffisamment longue, cette dernière remplit son rôle avec succès permettant un ajustement des plus précis, tenant son rôle avec sérieux et longévité dans le temps.

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Souple la manchette courte ne se lance pas dans un bras de fer avec la manche de la combinaison mais vient quand même faire une liaison entre les deux cuirs… indispensable en cas de contact avec le sol.

Agréable, le Bering se fait immédiatement oublier tout en offrant un bon touché tant au niveau des doigts que du guidon mais aussi une bonne aisance des mouvements et ne pourra pas être pris en défaut durant la totalité de nos tests.

Seul un réel manque d'aération se fera sentir et seulement quelques tours de pistes suffiront à saturer de transpiration la doublure et le cuir qui avouera ses limites de respirabilité.

Le constat routier est proche de celui ressenti sur circuit. Agréable sur route, le gant sait aussi séduire dans le milieu urbain.

Aidé par une doublure de bonne facture, la nouveauté 2010 se laisse enlever et mettre très facilement même mouillé et acceptera sans sourciller vos mains humides.