
Le moins que l'on puisse dire, c'est que le cas Jorge Lorenzo n'engendre pas la mélancolie. Parti du circuit d'Assen la tête basse et en piteux état le jeudi soir, le voilà revenu 24h00 après, prêt à remonter sur une moto qui l'a éjecté peu avant à plus de 200 km/h pour mieux lui briser la clavicule gauche.