
La journée d'hier sur le Dakar, 11 janvier, a du être sous l'ombre de Fabrizio Méoni. 6 ans que l'Italien nous a quitté en Mauritanie sur la piste de Kiffa. Une chute, une de plus parmi plein d'autres, mais celle de trop. Pas de rocher, pas de ravin, peut-être une langue de sable comme le disait David Frétigné qui suivait Fabrizio, mais rien de piégeux.