
Rien à faire contre un Toni Elias qui, au Japon comme ailleurs depuis le début de la saison, maitrise parfaitement son sujet en Moto 2. Sur un châssis Moriwaki qui évoluait à domicile, le pilote Gresini a contrôlé de bout en bout un Julian Simon qui a suivi son compatriote comme son ombre sans jamais pouvoir être à son contact.