
Décidément, entre le Moto Club de Goult et la Préfecture du Vaucluse, ce n'est pas le grand amour. Déjà, en novembre de l'année dernière, les deux parties avaient dû en venir à la procédure administrative en demandant au tribunal de trancher la question du refus de l'autorité régalienne d'accorder à la plèbe motarde ses jeux au grand air.