Direction la Belgique et la ville néerlandophone de Grammont (Geraadsbergen) pour les BMW Motorrad Day 2018. "Make Life A Ride" pour découvrir les dernières nouveautés de la marque mais aussi quelques "ancêtres" exceptionnels...
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Et voilà, près de 9 mois après les premières qualifications en France, le GS Trophy en Mongolie a commencé. C’est au départ du camp près de Ulaanbaatar au cœur de Gobi que se lancent les 18 équipages, sur la première épreuve de 450 kilomètres.
Marc Márquez est arrivé en Italie avec trois victoires consécutives dans la besace et sa faculté à rattraper les situations désespérées sur sa Honda. Seulement voilà, au Mugello, il est descendu de son nuage et aussi de sa moto au virage 10 du cinquième tour du Grand Prix toscan. Heureusement; son avance au championnat lui permet de garder la tête froide. Mais un joker a été joué…
Valentino Rossi est arrivé sur son tracé du Mugello avec les pures craintes au vu du niveau actuel de sa Yamaha. Il le quitte après une pole position et un podium. Somme toute, un Grand Prix d’Italie réussit. D’autant plus que le voilà second au championnat !
Jorge Lorenzo a finalement réussi là où, en d’autres temps, Valentino Rossi a échoué. En venant d’une Yamaha, il a gagné avec une Ducati. Et en Italie s’il vous plaît. Mais il connaîtra le même destin que le Doctor, en quittant la moto rouge après deux ans…
Cette fois, il n’a pas pu faire de miracles. Johann Zarco a subi tout au long de ce Grand Prix d’Italie terminé douloureusement à la dixième place. Le Français en tirera les enseignements pour une suite des événements qui aura lieu dans quinze jours en Catalogne.
On ne l’attendait plus et il est arrivé à un moment où on lui disait qu’il serait bien qu’il soit attendu ailleurs. La relation entre Ducati et ses pilotes est décidément toujours compliquée, mais le fait est que Jorge Lorenzo a enlevé sa première victoire sur la moto italienne lors du Grand Prix d’Italie. Et alors qu’il est acquis que Por Fuera ne roulera pas en rouge en 2019. Un pied de nez ? On ne sait. Mais Márquez a chuté, Dovizioso est second et Rossi troisième… Et deuxième au championnat !
Cela faisait longtemps que l’on n’avait pas vu Jorge Lorenzo à pareille fête lors d’une séance qualificative de MotoGP et pour ainsi dire jamais depuis qu’il est sur une Ducati. En Italie, il aurait pu jouer un bon coup en prenant la pole position, mais c’est un Italien qui s’en est chargé en la personne de Valentino Rossi. Il reste au Majorquin à remporter la victoire ce dimanche sur le tracé du Mugello. Ce qui ne changera pas un sort déjà scellé puisqu’il ne sera pas pilote officielle Ducati en 2019.
Cette fois, ça ne l’a pas fait pour un Johann Zarco qui ne s’est pas encore réconcilié avec le tracé du Mugello. En progrès hier, vendredi, ce samedi a été plus problématique, avant notamment une chute avec les qualifications qui a entamé son enthousiasme. Le pilote Tech3 Yamaha ne s’élancera que neuvième, mais sur ce tracé, ça n’a rien de rédhibitoire…
Le public italien en rêvait et Valentino Rossi l’a fait. Depuis 2016 et le Japon, le Doctor n’avait pas réussi à se hisser au sommet d’une grille de départ. Il a renouvelé avec cette position e pointe au meilleur endroit possible, soit au Mugello pour son Grand Prix d’Italie. Maintenant, il faut renouer avec un podium qui le fuit sur ses terres depuis 2015. Et pourquoi même avec la victoire qu’il n’a plus connue devant les siens depuis 2008 !
