
Qu’aurait décidé Lorenzo s’il n’avait pas fait sa faute au virage 15 qui a permis à Dovizioso de prendre les commandes de la course en Malaisie ? À seulement quatre tours du but. Au final, on ne sait vraiment. Son tableau de bord lui disait depuis un moment de lâcher l »affaire au point que la consigne a été ensuite doublée par un panneautage en règle sur un mystérieux « mapping ». Mais tout est bien qui finit bien chez Ducati, avec même un mot du patron sur le terrain, Gigi Dall’Igna…