
James Stewart est bien de retour, une opération, une rééducation et 4 victoires. L'officiel Kawasaki ne fait pas semblant. Après son doublé à Glen Helen la semaine dernière, Stewart devait confirmer son retour en forme ce week-end à Sacramento.
James Stewart est bien de retour, une opération, une rééducation et 4 victoires. L'officiel Kawasaki ne fait pas semblant. Après son doublé à Glen Helen la semaine dernière, Stewart devait confirmer son retour en forme ce week-end à Sacramento.
Si Yamaha n'a peut être plus de soucis à se faire pour ce qui est du renouvellement du contrat de Valentino Rossi, le blason d'Akashi n'est en revanche pas du tout assuré de garder son sponsor titre Fiat à la fin de cette année.
La réflexion sur la catégorie qui remplacera le GP250 deux temps risque de rebondir dans une semaine en Catalogne. Où aura lieu une importante réunion entre les constructeurs qui devrait aboutir à une position claire de ces derniers sur ce sujet hautement stratégique.
Ca y est, c'est officiel, l'AMV Shamrock et le Rallye du Maroc ne font plus qu'un. Pour les participants 2008, ça sera six jours de course dans le grand Sud Marocain à la découverte des splendides paysages de l'ancien Sahara espagnol. Le tracé des différentes courses a été dessiné par Cyril Neveu autour de la ville marocaine de Laâyouné.
Avec ses deux motos classées dans le top 6, le team Tech'3 enregistre une nouvelle belle satisfaction cette saison au sortir du Grand Prix d'Italie. Avec Edwards cinquième alors que sa meilleure performance au Mugello était jusque là une neuvième position et un Toseland qui, après deux courses difficiles, fait son retour dans les six premiers, Hervé Poncharal avait de quoi sourire.
Si Mike se dit satisfait de sa course au Mugello, il reconnaît néanmoins qu'il n'a pas été totalement remboursé de ses efforts, puisque sa machine et bien sûr lui-même valaient au moins un podium dans ce Grand Prix 125 d'Italie. Seulement voilà, avec sept pilotes regroupés dans la même seconde, les places sont chères et le moindre écart se paie cash.
A l'issue de la qualification, Sylvain sentait bien qu'il pouvait faire quelque chose avec cette versatile GP8, ou, tout du moins, enfin connaître une épreuve en tant que vrai pilote de Grand Prix et non comme triste spectateur d'une machine qui ne fait pas de cadeaux à ses servants, Stoner mis à part.
Score vierge pour Randy au sortir d'une campagne d'Italie douloureuse puisque marquée par une bataille perdue avec le train arrière de sa Honda LCR. Un mal qui n'a jamais été cerné et donc encore moins traité, si bien qu'au final c'est le bac à graviers qui l'attendait.
Une quinzaine de jours après notre grand prix national qui a vu la fabuleuse victoire de Mike Di Meglio dans la catégorie 125 (hip hip hip houraaaaaaaaaaaa) après 26 longues années de disette, c'est au tour de notre voisin Italien de recevoir les pilotes mais aussi et surtout les indispensables créatures (pas tout le temps de rêve) qui circulent dans les paddocks et/ou sur le grille de départ.
Si Loris Capirossi avait la tête des mauvais jours dans le box Suzuki, John Hopkins n'était pas plus satisfait de sont sort chez Kawasaki. Son sentiment était même peut être encore un peu plus amer car l'anglo américain venait de terminer sa course dans le bac à graviers.
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