Qu'on se le dise, si Valentino Rossi ressort usé de deux ans d'échec avec Ducati, son fidèle Jerry Burgess, lui, en sort miné. L'ancien de Doohan et ombre du « Doctor » depuis l'époque Honda commence à avoir le cuir dur, mais ce qu'il a vécu chez les rouges lui restera à jamais marqué au fer porté à la même incandescence.
Rappel des faits. Dans son magazine Legends qui n'est autre qu'un support consensuel simplement destiné à valoriser ses produits, Dainese avait produit une interview d'un de ses plus prestigieux ambassadeur, Valentino Rossi. Qui, entre autres choses, parlait de Casey Stoner, et plus exactement, de ses relations tendues entretenues avec lui.
Tiens, voilà une petite polémique qui va nous tenir chaud à l'arrivée des premiers frimas. C'est l'histoire d'un Valentino Rossi qui s'est exprimé lors d'une interview accordée au magazine de Dainese, appelé « Legends ».
L'année 2012 pour Ducati aura été commercialement inversement proportionnelle au succès rencontré en Moto GP. Autant la Desmosedici a semblé errer comme une âme en peine à chaque Grand Prix consommé, autant le constructeur a engrangé les commandes pour fièrement annoncer que cet exercice aura été le meilleur de toute son histoire.
Qu'on se le dise, cette saison de Superbike qui pointe à l'horizon marquera l'entrée de Ducati dans une nouvelle ère. Et à ce titre, il ne faudra pas s'attendre à voir le blason de Borgo Panigale jouer les premiers rôles dès l'entame de la campagne 2013, sur un théâtre d'opération pourtant réputé comme être son domaine réservé.
Il est celui qui a le mieux classé une CRT à l'issue d'un Grand Prix. Jamais, en effet, ce type de machine, que l'on a seulement découverte cette année, rappelons-le, ne s'était en effet portée à la cinquième place d'une course de l'élite.
Les anciens tauliers de Ducati n'ont pas laissé longtemps dans leur bas de laine les quelques 860 millions d'euros encaissés après la vente du blason de Borgo Panigale au groupe VAG. On apprend ainsi qu'Investindustrial vient d'entrer pour 37,5% dans le capital du constructeur préféré de James Bond, Aston Martin.
Ducati l'assure, une révision tous les 24 000 kilomètres suffit pour ses motos. Finies les tracasseries à l'italienne. Maintenant, on peut rouler en toute sérénité. Ceci dit, le doute peut subsister dans certains esprits, et puis, en ces temps de principe de précaution proéminent, on n'est jamais trop prudent.
En panne d'inspiration pour Noël ? Le troisième tome de “L'Histoire de Ducati” s'intéresse à la genèse du moteur Ducati à courroies crantées et ce dès 1977. Les fans de l'italienne apprécieront les 220 pages allant de la Pantah à la première 900 Supersport à courroies crantées.
Le mois décembre qui s'installe commande au Moto GP, ainsi que, d'ailleurs au Superbike, de prendre ses quartiers d'hiver. Il ne fallait donc pas rater les dernières occasions de rouler avant d'hiberner, surtout pour ceux qui ont choisi de changer de crèmerie pour 2013.
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