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Essai Kymco X-Town 125 : successeur du Dink Street

Dans Moto / Nouveauté

Damien Lachaize

Essai Kymco X-Town 125 : successeur du Dink Street

Révélé pour la première fois à EICMA il y a deux ans sous l'appellation Agility Maxi, le dernier-né de la gamme Kymco change de patronyme et s'apprête à intégrer le catalogue de la firme taïwanaise sous le nom X-Town, une identité plus en phase avec le marché européen et surtout français. Prévu de garnir le réseau de concessions début juin, le X-Town succède au vétéran Dink Street avec dans son escarcelle un gabarit compact, un design au standard européen, une motorisation répondant à la norme Euro 4, un freinage couplé. Proposé au tarif de 3499 € (prix de lancement jusqu'au 30 juin) puis à 3699 €, le X-Town se montre particulièrement intéressant.


Qu'il paraît bien loin le temps du Spacer ! pourtant, ce scooter au design atypique résolument tourné vers les marchés asiatiques avait marqué le lancement de la marque Kymco en France au début des années 2000. Une genèse entamée en 2002 et qui se poursuit au rythme d'une nouveauté dévoilée par an. Depuis presque 14 ans, le constructeur natif de Kaoshung (sud de Taiwan) n'a cessé de progresser en qualité et de faire évoluer son réseau de distribution (270 revendeurs en France), car aujourd'hui, plus question de parler de marque ''low cost'', Kymco soigne son image et ses machines avec une véritable identité visuelle adaptée au très exigeant marché français. L'an dernier, la gamme s'est enrichie des Downtown 125/350, deux véhicules GT Premium, tandis que le K-XCT, sorti en 2013, peine toujours à trouver sa clientèle. Toutefois, il manquait un scooter milieu de gamme avec pour objectif de remplacer le vétéran Dink Street apparu en 2009 et qui peut se targuer d'avoir véritablement lancé la marque en France. Le X-Town 125 succède au Dink Street avec un positionnement rapport prix/équipement qui reste la priorité selon la Direction Générale de KymcoLux.


Essai Kymco X-Town 125 : successeur du Dink Street


Développé et conçu au siège à Taiwan, le X-Town jouit d'un assemblage dans l'une des deux usines en Chine (rappelons que Kymco possède 4 usines au total deux à taiwan et deux en Chine). La qualité de fabrication ne pâtit pas de cette délocalisation, puisque le cahier des charges est scrupuleusement respecté et l'ensemble demeure soigné que ce soit au niveau de l'ajustage des plastiques que les matériaux utilisés. Le style employé ici s'avère nettement plus agressif que sur le Downtown. La signature lumineuse n'est pas sans rappeler celle du Sym GTS avec des feux effilés et surlignés par une ligne d'ampoules à Led. La forme en X du feu arrière est reprise du modèle Xciting. D'un point de vue esthétique, le X-Town répond présent, dommage que les plastiques utilisés pour le cabotage du guidon soient austères. De même,le tableau de bord se montre particulièrement triste : cependant, il fédère une instrumentation complète avec un pavé digital entouré de deux cadrans analogiques (vitesse et compte-tours). L'écran LCD dispense d' une foule d'informations comme les totalisateurs kilométriques partiels, odomètre, horloge, température extérieure, jauge à essence à segments mais pas d'indicateur de consommation d'essence instantanée. Les comodos restent dans la lignée de ceux déjà existants : la commande de warning s'enclenche toujours à l'index droit et l'on retrouve avec un certain plaisir des leviers réglables. Enfin, le contacteur dispose toujours d'un volet anti-effraction.

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Essai Kymco X-Town 125 : successeur du Dink Street


La capacité d'emport proposée demeure dans une bonne moyenne pour la catégorie : éclairée mais non moquettée, la soute, montée sur vérin hydraulique , peut loger un casque jet ainsi qu'un intégral. La boite à gants placée à gauche du tablier , non verrouillable à clé, accueille une prise USB. En revanche, pas de plancher-plat mais un tunnel central où se positionne le réservoir d'essence d'une contenance de 12,5 litres. Non monté sur charnière, il ne refoule pas lors des phases de remplissage à la pompe comme on pouvait le remarquer sur d'anciens véhicules (notamment le Movie) dont le réservoir était situé sur la gauche du tablier.


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