
Signe de ces temps difficiles, c'est avant tout sur le rapport qualité-prix que Yamaha a décidé d'insister lors de la présentation de ses deux nouveaux scooters 50cc Neo's Easy et BW's Easy.
Signe de ces temps difficiles, c'est avant tout sur le rapport qualité-prix que Yamaha a décidé d'insister lors de la présentation de ses deux nouveaux scooters 50cc Neo's Easy et BW's Easy.
L'exercice 2012, pour les constructeurs motos, n'a pas encore révélé tous ses secrets. Il n'est pas nouveau d'apprendre que le marché global de la moto se ressent on ne peut plus durement d'une conjoncture économique bouleversée depuis la crise financière de 2008, mais force est de constater que certaines valeurs établies se trouvent encore et toujours fortement ébranlées par un contexte des plus dangereux pour leur pérennité.
Les choses se précisent de plus en plus pour une prochaine quart de litre quatre temps dans la gamme Yamaha. L'emblème aux trois diapasons, sur le sujet, laisse la main de la communication à ses représentants dans les marchés émergents, une démarche qui laisse planer un doute sur la prochaine vocation de l'engin.
Voilà l'engin surpris au détour d'un tracé australien par les incontournables fins limiers du site MCN. Mieux, l'information précise qu'il a tourné avec des Yamaha R6 mais aussi et surtout une BMW S 1000RR en sparing-partner.
Dominée par le Honda SH, la catégorie des scooters à grandes roues peine à trouver sa clientèle en France. Pourtant, les constructeurs ne manquent pas d'imagination pour renouveler l'offre sur ce segment.
Depuis sa sortie en 2012, le Yamaha T-Max 530 s'est largement hissé en tête des ventes sur le segment des maxi-scooters. Le sulfureux scooter de la firme aux trois diapasons a contribué à la formidable tenue en 2012 du marché des maxi-scooters.
Disparue du catalogue Yamaha au cours de l'année 2000 pour cause de passage à la norme anti-pollution Euro 3, la TW 125 reste pourtant ancrée dans tous les esprits grâce à son empreinte stylistique atypique. Il semblerait que la TW ait inspiré les préparateurs et notamment la concession Liberty Yam basée à Boulazac (24).
C'est un Sam Lowes irrésistible chevauchant une Yamaha R6 qui ne l'était pas moins qui a mis le feu dans la catégorie Supersport sur le tracé de Phillip Island.
Il est connu sous bien des noms, mais qu'importe son identité puisque le voilà frappé du même mal. Qui lui impose un rappel conséquent dans les concessions. Là c'est un YW125 ou un Zuma 125, ici, c'est un BW's 125, et ce scooter Yamaha aux galbes racés pour mieux séduire et affronter le milieu urbain est convoqué pour un souci déclaré au niveau sa pompe à essence.
Il a tourné des spots publicitaires pour vanter les mérites d'une Honda Civic, il a encouragé l'enseigne Fiat à soutenir les efforts de Yamaha en Grand Prix, et à ses heures perdues, il pilote en rallye une Ford et sur des circuits une Ferrari.
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