2. Salon Moto Légende 2016: clubs, bourse: en déambulant dans les allées.

Salon Moto Légende 2016: Moto Guzzi à l'honneur, les constructeurs et partenaires.

Les clubs sont les gardiens du temple de notre passion. Mais j'ai l'impression qu'ils étaient encore un peu moins nombreux cette année. Autre regret, les "avant-guerre" se font de plus en plus rares. Heureusement qu'il y en a encore quelques uns qui font de la résistance mais jusqu'à quand?

Du coté des "bielles de jadis", on avait choisi de présenter cette Rudge "multi" de 1920. Cette machine utilise un système de changement de vitesses via une sorte de variateur en bout de vilebrequin, technique que la marque proposait déjà avant la première guerre mondiale.

Chez "La Main au Panier", on restait dans le thème de cette édition avec ce trois roues Moto Guzzi Ercole transportant une V7 attelée. Impressionnant.

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Impressionnante elle aussi par son coté "brutal", voici la Kawasaki GPZ 750 Turbo. Belle à se damner (enfin tout est une affaire de goût mais moi j'adore), le constructeur japonais a été le seul à proposer une vraie turbo; revers de la médaille, maîtriser la bête ne sera pas à la portée de tout le monde. Après deux ans de production, la belle quittera le catalogue. Depuis quelques années, un club lui est entièrement dédiée.

A l'entrée de la bourse d'échanges, cette Tricati faisait de l'œil aux visiteurs.

Au fond du bâtiment, cette Douglas, qui semble être un modèle E29, était affichée à 6 500 euros. Un prix raisonnable pour cette machine peu courante.

Autre moto pour le moins attirante: l'Indian 1000 Powerplus; pour celle-ci, le propriétaire envisageait un échange contre une ou plusieurs machines deux temps.

Planquée dans le coin d'un petit stand, cette béhème n'est pas une simple "Série 2"; nous sommes ici en présence d'une rarissime R50S. Entièrement restaurée, elle était affichée à 21 000 euros.

Juste à coté, encore une très belle moto avec cette Terrot (type B?).

Dans un style tout à fait différent, sur le stand AMV, ces deux "préparations" mélangeant l'acier et le bois prouvaient que les gros cubes n'avaient pas l'exclusivité du "restyling".