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2. Essai Moto Guzzi V9 Roamer : qui pleut le plus...

Essai Moto Guzzi V9 Roamer : belle et fonctionnelle

D'excellentes prestations et une remarquable exhaustivité pour le petit afficheur situé dans le compteur à aiguille ! Commandé à partir du basculeur positionné sur le commodo gauche. Des commodos design très agréables à utiliser, si ce n'est le clignotant paraissant un peu fragile et n'étant pas doté du petit cran traditionnel lorsqu'on l'arrête. Mais revenons en au curseur « Mode ». ce dernier permet de naviguer entre les fonctions. L'indicateur de rapport engagé est affiché en permanence, tandis que l'on alterne entre consommation instantanée, estimée et moyenne, opte pour la mesure de distance parcourue, compte-tours digital, temps de fonctionnement. On dispose bien entendu d'une montre, de la température extérieure et surtout du niveau de réglage du contrôle de traction, un niveau sur lequel on peut agir d'une simple pression.


Si toutefois il vous manquait des informations sur l'inclinaison de la moto, son accélération, sa force ou encore sa puissance, sans oublier une pléthore de paramètres issus de l'électronique même de la V9 ou des analyses plus poussées encore, vous pourriez encore opter pour un affichage additionnel reposant sur un smartphone Android ou IOS et sur le MG-MP.


Guidon relevé, position de conduite assise et basse induite par la très sympathique selle à 770 mm, l'ergonomie est agréable quel que soit le gabarit. Et le confort plus élevé que sur la Bobber ; merci la forme différente de l'assise. Particulièrement décontracté à bord, on profite d'un guidage très léger induit par la roue avant de 19 pouces, soit 1 de plus que sur la V7. Les sensation sont plus naturelles, notamment grâce à la fourche revue pour plus de douceur et une meilleure tenue de route. Sans oublier une stabilité accrue. Cette roue est une part importante de l'identité de la V9 Roamer, et ce qui la dissocie grandement de la V9 Bobber. Tout comme le guidon positionnant les bras parallèle au sol, poignets légèrement fermés.


Essai Moto Guzzi V9 Roamer : belle et fonctionnelle

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Chaussée de Pirelli Sport Demon, des pneumatiques de qualité que notre balade autour du lac de Come n'aura de toutes façons pas mis à mal, la Guzzi n'aura eu aucune peine à montrer l'étendue de son talent à cruiser…



Force et douceur


Essai Moto Guzzi V9 Roamer : belle et fonctionnelle


Souplesse moteur, suspensions agréables tant qu'on ne pousse pas trop fort, la Roamer se pose effectivement en custom simple et sympa. Les jambes en position standard et non allongées, les genoux de notre 1,80m calés dans les cylindres, on cruise avec délectation y compris à vitesse modérée sur le dernier rapport (à partir de 60 km/h pour être à l'aise), profitant du paysage vallonné et des superbes villages accrochés dans les vallées et à flanc de mont. Au moment d'aborder les épingles lors d'une séance grimpette, il est de bon ton de désactiver l'anti patinage si l'on veut s'extraire avec force de l'une d'entre elles. Sinon, la position 1 suffira grandement à ne pas se faire surprendre. Il faut bien avouer que le couple n'a rien d'impressionnant en soi pour la partie cycle fort bien dimensionnée, mais le velouté de la puissance et du couple prodigués ne manquent ni de sensations, ni d'entrain. Un must dans le genre.


Équilibrée, intuitive et somme toutes légère de ses 200 kilos environ tous pleins faits, la V9 Roamer s'impose rapidement comme une moto évidente de prise en main, vive et agréable. Elle conviendra en tout cas à de nombreuses utilisations, du fait de son bon caractère. Avec les 15 litres de son réservoir et sa consommation raisonnée vu le rythme imposé (5,7 l/100 km avec dénivelé et autoroute), la V9 autorise environ 250 km réserve comprise. Les vibrations agréablement atténuées, les rétroviseurs suffisants pour quelques contrôles, mais pas forcément aisés à régler s'oublient rapidement, tandis que l'on vise l'horizon.


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