2. Le village pro et les partenaires.

Yamaha était à l'honneur cette année puisque l'exposition centrale était consacrée à ses cinquante ans d'investissement (dans tous les sens du terme) en grands prix. Sur l'espace réservé à la marque aux trois diapasons, la machine du GMT 94, victorieuse des dernières 8 heures de Doha, était en bonne place.

Bien évidemment, la plupart des exposants avaient mis un point d'honneur à rester dans le thème de cette édition. Chez Belgom, c'est une 500 HL qui a été choisie.

Axa propose chaque année de nombreuses machines sur son stand; dommage que ce dernier soit si sombre. En plus des trois Yamaha présentes, une Gilera 500cc type VTGSE de 1936 à la suspension arrière si particulière disputait la vedette à une Zenith 1000cc de 1918.

La FFVE (Fédération Française des Véhicules d'Epoque) avait opté pour une 350 TZ revue et corrigée par Jacky Germain, et une Maïco "Taïfun" 400cc de 1955.

Pour la FFM, le choix s'est porté sur une 750 TZ de 1978, une 250 YZ de 1979, une 250 TY de 1973, une Cagiva d'enduro et une machine de Grass-Track.

Sur l'espace Murit, célèbre magasin parisien, de nombreuses machines étaient proposées à la vente...

Triumph, par l'intermédiaire de sa concession de Strasbourg, avait revisité sa Bonneville...

L'atelier Chatokhine, fidèle aux manifestation d'anciennes, proposait cette superbe Triumph.

Machines et moteurs a jeté son dévolu sur cette Harley Davidson en cours de préparation...

Enfin, chez Tendance Roadster, on s'est associé au préparateur Solution F afin d'améliorer les performance du moteur Royal Enfield tout en conservant le couple et la souplesse à bas régime: résultat, + 25 % de gain soit 34 cv à 5200 tr/mn.