Jean Jacques Cholot Le 06/12/2011 à 18:43

2. Les machines d'après 1960.

Munch Mammut; rien que le nom en lui-même impressionne. Avec son moteur quatre cylindres en ligne emprunté à la N.S.U. Prinz, ce monstre de plus de 250 kg était capable d'atteindre les 210 km/h. Quant à la tenue de route et au freinage à cette vitesse...

Beaucoup plus racée, cette 1000 Egli-Vincent continue de faire fantasmer bon nombre de motards. Du coup, Patrick Godet a obtenu l'"agrément" pour continuer à construire cette fabuleuse machine.

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La Norton Commando, véritable symbole de la production anglaise des années soixante, ne pouvait être absente de cette exposition consacrée aux motos stars.

Toujours issue de la production d'outre-Manche, cette Triumph Hurricane serait l'une des nombreuses machines ayant appartenu à Coluche...

BMW défendait les couleurs germaniques (en plus de la Munch), avec tout d'abord sa R69S. Sportive de la marque, elle apparaît en 1960 en succédant à la R69 présente au catalogue depuis 1955.

Au milieu des années soixante-dix, la marque à l'hélice innove en proposant une machine équipée d'un carénage intégrale. D'autres constructeurs, comme HRD-Vincent, avaient déjà tenté l'aventure auparavant. La RS sera suivie d'une version encore plus "protectrice", la RT.

Pionnier en matière de gros trails, la firme allemande bouleverse une nouvelle fois les idées reçues en imposant ses GS face aux monocylindres japonais dans les épreuves de rallyes raids.

Changeons de registre en s'intéressant à la symphonie en six cylindres: ci-dessous, la belle et la bête...

La 350 RDLC après avoir marqué le début des années quatre-vingts, continue à faire parler d'elle dans les courses d'anciennes.

Beaucoup plus exclusives, les TZ sont également encore nombreuses à user du gommard sur les circuits, notamment en ICGP.

Bimota Dieci ou quand la moto décide de se la jouer haute couture...

Terriblement efficace sur les pistes en terre chères au public américain, la 750 XR est toujours la référence dans l'histoire du Dirt-Track.

Au milieu des années quatre-vingt-dix, Harley-Davidson tente un retour dans le domaine de la vitesse avec cette VR 1000 équipée d'un bicylindre à refroidissement liquide développé en collaboration avec Porche Engineering.