Jean Jacques Cholot Le 03/11/2010 à 16:00

2. Les pros.

Parmi les professionnelles tous acquis à la cause du deux roues, Chambrier proposait des refabrications de pièces amenées avec son désormais célèbre camion américain.

A quelques pas de lui, Mobillex présentait aussi toute une gamme de pièces détachées pour solex, mobylettes et autres cyclomoteurs des années cinquante.

Abonnez-vous à la newsletter de Caradisiac

Recevez toute l’actualité automobile

J’accepte de recevoir les offres partenaires

L’adresse email, renseignée dans ce formulaire, est traitée par GROUPE LA CENTRALE en qualité de responsable de traitement.

Cette donnée est utilisée pour vous adresser des informations sur nos offres, actualités et évènements (newsletters, alertes, invitations et autres publications).

Si vous l’avez accepté, cette donnée sera transmise à nos partenaires, en tant que responsables de traitement, pour vous permettre de recevoir leur communication par voie électronique.

Vous disposez d’un droit d’accès, de rectification, d’effacement de ces données, d’un droit de limitation du traitement, d’un droit d’opposition, du droit à la portabilité de vos données et du droit d’introduire une réclamation auprès d’une autorité de contrôle (en France, la CNIL). Vous pouvez également retirer à tout moment votre consentement au traitement de vos données. Pour en savoir plus sur le traitement de vos données : www.caradisiac.com/general/confidentialite/

Retournons à l'intérieur où un side-car Oural exposait ses atouts aux amateurs de trois roues rustiques.

Avec ses deux roues motrices, sa garde au sol à faire pâlir de jalousie un Hummer, et son freinage amélioré, l'engin ne manque pas de charme. Mais seuls ceux qui auront dépassé leurs aprioris et osé essayer « la bête » me comprendront…

Restons dans l'exotisme avec Custom Service, qui, outre les machines de Milwaukee, proposait des Royal Enfield. En effet, ce concessionnaire de la marque indienne importe également des véhicules US (deux et quatre roues).