D’abord la situation générale. En 2014, 6 000 emplois ont été supprimés dans le secteur privé au sens général, ce qui traduit une quasi stabilité. 17,8 millions de personnes étaient employées par les 1,5 million d’entreprises privées implantées dans l’Hexagone l’an dernier.

C’est le secteur tertiaire qui permet d’afficher des chiffres acceptables avec respectivement 15 000 et 47 000 créations d’emplois en 2014. En revanche, dans l’industrie et la construction, c’est la morosité qui règne. Ces deux pôles ont détruit respectivement 40 000 et 28 000 emplois.

Mais ce n’est pas tout. Il ressort que l’automobile souffre particulièrement. Un fort recul de l’emploi dans cette industrie est regretté. Elle perd à elle seule 11 500 emplois. Soit 28,25 % de la totalité des emplois détruits dans l’industrie en 2014.

Enfin, d’une manière générale, La majorité des régions ont perdu en 2014 des emplois. Rhône-Alpes, Midi-Pyrénées et Aquitaine et l’Île-de-France sont les exceptions qui confirment la règle.