Dans une interview publiée le 11 août dernier par nos confrères de L’Argus, Bernard Ollivier explique qu’Alpine ne reviendra pas au rallye du fait que la réglementation n’est pas adaptée au modèle en développement. On le sait, l’option actuellement retenue – l’endurance – pourrait être pérennisée avec pourquoi pas un passage du proto au GT.
Mais le point le plus important concerne sûrement le niveau des ventes envisagé. Il est de 3 000 unités annuelles. Alpine ne se contentera évidemment pas de l’Europe pour commercialiser sa nouvelle sportive. L’Asie en général et plus particulièrement le Japon seront visés. La Russie aussi devrait constituer un débouché pour la première Alpine de la renaissance. Quant à la France, le constructeur envisage d’y écouler entre un quart et un tiers des 3 000 exemplaires, soit entre 750 et 1 000 véhicules.
Photo: concept Alpine A110-50














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