MasterLudo publie sous la cagnard qui régnait à ce moment-là du mois de mai dernier un article, en plein samedi après-midi. Mon sang ne fait alors qu’un tour, mais pas directement dans mon slip. Nous fûmes d’ailleurs des masses à avoir eu les sens tous émoustillés et la tête à l’envers. Dingue ce que peut produire une petite musique de portable et un jeu au design Amstrad 80’s (il y en a pour fonder des théories philosophiques pop là-dessus, ce qui est heureux).


Et maintenant, alors ?


Vous êtes restés sur votre faim ? Moi aussi.


Eh bien j’en avais gardé sous la pédale.


Je vous propose un parallèle entre la scène finale du spot et une scène primitive qui aurait pu, pourrait ou pourra vous arriver. Laquelle se présenterait ainsi.


Rendez-vous pour l’apéro. C’est l’été et le pastis cette fois-ci encore s’impose. Ce qui s’impose aussi c’est le phallus. Voici comment : un tout jeune père que vous êtes venu retrouver vous dresse son petit bout de chou à peine né sous le bec vers le ciel. Evidemment, le père en question n’osera vous adresser un regard qu’une fois l’enfant par vous baisé.


Vous me suivez ? Ou dois-je développer ?




Bienvenue dans les J’aime de nuit, placés sous le haut patronage de quelque dérapage nocturne. Autant les « minuit chicanes » sortent chaque jour (du lundi ou vendredi, telle une semaine bien structurée, à dix heures du soir) autant les « j’aime de nuit » paraîtront toujours aléatoirement, de manière quasi impulsive, la nuit, plutôt le week-end.