Mardi dernier, un engin explosif a été retrouvé au pied d’un radar de la Francilienne, vers Baillet-en-France, dans le Val-d’Oise. Il n’a pas fonctionné mais auparavant six autres radars automatiques n’ont pas eu la même chance en étant éparpillés aux quatre vents.

Loin d’être l’œuvre dispersée de particuliers en colère, ces destructions auraient été revendiquées, selon la radio RTL, au moyen d’une lettre envoyée en Octobre au ministère de l’Intérieur, par la FNAR, la Fraction Nationaliste Armée Révolutionnaire. Ce groupuscule promet de continuer son action jusqu’à ce que l’Etat leur verse dans un premier temps une importante somme d’argent, puis « abaisse la fiscalité » et « diminue la répression ».

Pas du tout amusés, les services anti-terroristes mènent l’enquête.