Il est l’heure de chicaner, n’est-il pas vingt-deux heures ?


Alors que la deuxième génération de Dacia Logan débute sa carrière, il est grand temps de réaffirmer la parfaite réussite que constitue la nouvelle ère Dacia. Le groupe Renault a réussi avec le lancement de sa gamme Entry commercialisée soit sous la marque au losange soit sous la marque roumaine Dacia une rupture digne des plus grandes évolutions qui ont marqué le monde automobile. La preuve ? La meilleure preuve qu’on puisse apporter c’est que le groupe Renault n’a toujours pas été imité. Il aura en effet fallu du temps aux rivaux de Renault – le groupe Volkswagen en tête – pour réaliser premièrement que la stratégie initiée par Renault était bonne et deuxièmement tout ce que cela impliquait comme bouleversements et adaptations à l’intérieur d’un groupe pour la rendre possible.


Au premier abord certes, les modèles Dacia ne semblent guère innovants. C’est que l’innovation est ailleurs : dans les process, dans les méthodes, dans la conception, dans la commercialisation, dans la stratégie. Mais aussi dans le risque même pris à l’époque par Louis Schweitzer.