Car bon gré mal gré, les taxis ont dû revoir à la hausse le niveau de leur prestation. On ne parle pas là des tarifs, mais bien du service rendu. Les sociétés ont fait passer le message. Un chauffeur bien propre sur lui, un véhicule irréprochable, comme le service lors de la course, à passer dans une ambiance feutrée avec le minimum pour se désaltérer, le choix de sa station de radio, et, même le Wi-Fi. Voilà qui change le métier et pour bien pousser à cette évolution, les enseignes créent divers services aux noms évocateurs genre «service +», «club affaires», ou encore «greencabs», pour l'accueil des personnes à mobilité réduite.


Mieux, on parle de plus en plus de « Wecab », qui offre un service de taxi partagé vers les aéroports. Une solution qui ne manquera pas de s'élargir aux gares parisiennes. Cela ne vous rappelle rien ? UberPool peut être ? Les VTC ont donc poussé à ces innovations et ces améliorations chez des taxis qui ont mis le doigt dans l'engrenage. Ceux qui ne l'ont pas compris seront vite repérés par une clientèle qui prend l'heureuse l'habitude d'être chouchoutée. Et qui refusera la course lorsqu'elle ne l'est pas.

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