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Le rétrofit électrique intéresserait près d’1 artisan sur 2

A l’heure où se multiplient les Zones à faibles émissions (ZFE), 46 % des artisans se disent intéressés par l’idée de remplacer le bloc thermique de leur véhicule par un moteur électrique. C’est l’un des enseignements du sondage que vient de réaliser la MAPA (Mutuelle d’Assurance des Professions Alimentaires) et REV Mobilities, groupe industriel pionnier du rétrofit en France.

Le rétrofit électrique intéresserait près d’1 artisan sur 2

Selon la MAPA et REV Mobilities, le développement à grande échelle des Zones à faibles émissions (45 dans l’hexagone d’ici 2025) place les artisans-commerçants de l’alimentation dans une situation d’urgence économique et écologique.

« Leurs véhicules, qui constituent leur outil de travail, ne pourront en effet plus circuler dans les ZFE alors qu’ils sont souvent spécialement équipés et en parfait état de marche », déplorent les auteurs du sondage effectué sur un échantillon d’une centaine de sociétaires déjà concernés par la ZFE en vigueur dans le secteur du Grand Paris.

500 VU d’ici 2024 pour les artisans sociétaires de la MAPA

C’est dans ce contexte que la démarche du rétrofit pourrait trouver une résonnance particulière. REV Mobilities et la MAPA sont convaincus que « le rétrofit est une alternative intelligente et économique à l’achat d’un véhicule électrique neuf », et ajoutent que c’est « un procédé efficace de mobilité durable qui répond aux enjeux environnementaux et aux principes de l’économie circulaire. » Selon eux, « le remplacement du moteur thermique par un moteur électrique permettra aux artisans de l’alimentation de continuer à exercer leur métier dans les zones à faibles émissions (ZFE). »

La Mutuelle des professions alimentaires considère que plus de la moitié des 36 000 véhicules d’artisans qu’elle assure actuellement répondrait « aux critères réglementaires et industriels du rétrofit électrique. »

Reste désormais à transformer ce potentiel d’attractivité en demande effective. Les résultats de l’étude, dans ce sens, semblent encourageants. En effet, alors que 3 % seulement des personnes interrogées affirmaient avoir entendu parler du rétrofit avant le sondage, 46 % de ce même panel d’artisans ont déclaré être intéressés par cette technologie une fois les explications apportées.

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Parmi eux, 22 % souhaiteraient d’ores-et-déjà être recontactés avec une offre concrète. Une attente à laquelle la MAPA et REV ont voulu répondre rapidement, par la création d’une offre commune de rétrofit « spéciale artisans », avec l’objectif de proposer « 500 véhicules utilitaires dans les prochains 24 mois, et des milliers après ».

Notez enfin que l’enquête aura permis aux sondés de soulever des questions concernant notamment l’autonomie des véhicules rétrofités et leur nouvelle homologation (vignette Crit’Air verte).

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