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Maxi-fiche fiabilité - DS 7 Crossback/DS 7 : à prendre avec des pincettes

Dans Pratique / Conseils d'achat

Julien Bertaux

Maxi-fiche fiabilité - DS 7 Crossback/DS 7 : à prendre avec des pincettes

Dates clés

  • Mars 2017 : présentation du Ds 7 Crossback au Salon de Genève
  • Octobre 2017 : commercialisation
  • Mars 2019 : lancement de la version hybride rechargeable E-Tense
  • Septembre 2022 : restylage (renommé en Ds 7)
Calculer la cote de ce véhicule

En bref

La marque DS a véritablement été lancée en 2014, lorsque la petite DS 3 abandonne les chevrons de Citroën pour s’émanciper. Afin de conforter son image premium aux yeux du public, la jeune marque doit avoir dans son catalogue un SUV. Ce sera le cas en 2017 lorsque le DS 7 Crossback est lancé.

Si ce nouveau venu est un pur produit DS, il partage ses dessous, et notamment sa plateforme EMP2, avec d’autres modèles du groupe PSA d’alors. Il en reprend ainsi les mécaniques (BlueHDi de 130 et 180 ch en diesel et PureTech de 180 et 225 ch en essence) et de nombreux éléments techniques.

Pour tenir le rang des modèles prémium, DS soigne son intérieur. Sièges habillés de cuir façon bracelet de montre, commandes en aluminium ornées de guillochage, Alcantara sur la planche de bord et les contreportes, montre pivotante BRM… La marque met le paquet pour flatter l’œil du potentiel acheteur. Le but est également de se démarquer, une démarche qui se distingue au niveau du style, très singulier, que ce soit dans l’habitacle ou pour le traitement de ses lignes extérieures.

Afin de vivre avec son temps, le DS 7 se décline en hybride rechargeable E-Tense 4x4. Il associe le moteur PureTech 1.6 de 200 ch avec un moteur placé sur le train arrière pour un total de 300 ch et 450 Nm. Le SUV devient ainsi un quatre roues motrices. Côté accumulateur, il peut compter sur une capacité de 13,2 kWh lui permettant de rouler jusqu’à 50 km sans brûler une goutte de carburant (selon le cycle WLTP).

Cette version est complétée en juin 2020 par une offre plus raisonnable, toujours dénommée E-Tense. Le moteur thermique est moins puissant (180 ch) et le bloc électrique se loge directement dans la boîte de vitesses. Le DS 7 n’est plus 4x4, sa puissance est moindre (225 ch cumulés), mais le prix est plus serré alors que l’autonomie en électrique est légèrement supérieure (55 km).

Pour la marque tricolore, le DS 7 est un succès. Il passe toutefois par la case restylage en septembre 2022. La partie avant est profondément revue via une nouvelle calandre et une signature lumineuse inédite. L’arrière n’est pas en reste avec des optiques plus fines et un hayon redessiné. L’ensemble gagne en personnalité et en cohérence. À noter qu’il perd pour l’occasion son suffixe Crossback. L’habitacle change peu, mais profite d’un nouveau système d’exploitation. Enfin, une version de pointe hybride rechargeable de 360 ch rejoint la gamme.

Le marché de l’occasion n’est pas avare en DS 7 (surtout Crossback). Le choix est plutôt vaste, que ce soit en termes de motorisation et de finition. Il sera alors plus aisé de trouver chaussure à son pied.

Caradisiac a aimé

  • L'habitabilité
  • Le coffre
  • Le confort
  • Les consommations
  • La qualité perçue

Caradisiac n'a pas aimé

  • La fiabilité
  • Les mécaniques
  • L'ergonomie
  • La recharge

Nos versions préférées

  • 2.0 BLUEHDI 180 10CV PERFORMANCE LINE + AUTOMATIQUE
  • 1.6 E-TENSE 225 RIVOLI

Qualités et défauts

Ce qui peut vous tenter

  • L’habitabilité : le DS 7 sait accueillir ses hôtes, notamment à l’arrière. L’espace est suffisant pour trois passagers, qui profiteront d’un bel espace pour les jambes et d’un dossier inclinable. De plus, le tunnel central est inexistant, ne pénalisant pas la place du milieu.
  • Le coffre : l’espace offert à bord n’est pas au détriment de la soute à bagages. Le volume du coffre varie de 555 à 1 750 litres une fois les dossiers rabattus, des valeurs très honorables par rapport à son gabarit. De plus, ce volume n’est pas amputé sur les versions hybrides et l’accès est aidé par un grand volet.
  • Le confort : c’est sur ce chapitre qu’une DS doit faire la différence. Le DS 7 remplit parfaitement sa mission puisque les suspensions absorbent tout ou presque. Il se transforme même en tapis volant lorsqu’il est équipé de l’amortissement piloté doublé à la caméra Scan Suspension. Certains trouveront qu’il manque de dynamisme, mais c’est avant tout le confort que DS a soigné.
  • Les consommations : malgré sa carrure de SUV, le DS 7 profite toutefois d’un poids relativement contenu (1 420 kg pour une version BlueHDi 130 ch). Un critère qui a une incidence directe sur l’énergie demandée pour le déplacer. Ainsi, le DS 7 affiche des consommations raisonnables. Bien sûr, une conduite nerveuse avec les moteurs à essence se soldera par un appétit généreux, mais il sait être sobre. Les déclinaisons E-Tense sont logiquement les mieux loties dans ce domaine.
  • La qualité perçue : en s’attaquant au segment des SUV premium, la marque n’avait d’autre choix que de proposer un intérieur soigné. Contrat rempli puisque les matériaux sont globalement de qualité et l’assemblage est sans reproche.

Ce qui peut faire hésiter

  • La fiabilité : un DS 7 ne fait pas l’autre. Cependant, ce SUV rencontre de nombreux soucis, parfois juste agaçant, mais pouvant conduire à de lourdes réparations. Il est indispensable de privilégier un modèle entièrement entretenu dans le réseau. Cela permet au véhicule d’avoir profité des mises à jour, des actions correctives et des nombreux rappels du constructeur.
  • Les mécaniques : les moteurs du DS 7 manquent de saveur. Les petits PureTech et BlueHDi de 130 ch s’acquittent sans trop de souci du poids raisonnable de l’engin, au prix toutefois d’un bruit bien présent dans l’habitacle. Les autres déclinaisons remplissent parfaitement leur office, mais on reste sur notre faim côté agrément et plaisir moteur.
  • L’ergonomie : outre les commandes de vitres électriques placées sur la console centrale, c’est davantage le système multimédia qui fait défaut. La navigation n’est pas toujours aisée, le réglage de la climatisation ne se fait que par son biais. En revanche, la version restylée fait mieux grâce à un nouveau système d’exploitation.
  • La recharge : il faut savoir que les versions hybrides rechargeables ne peuvent encaisser que 7,4 kW de puissance maximale. Une recharge complète demandera sept heures sur une prise classique, quatre heures sur une prise renforcée et deux heures sur une Wallbox.

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Budget

Achat / Cote :

Si vous pensiez dénicher un DS 7 Crossback sous la barre des 15 000 €, c’est raté. Il va falloir tabler sur un ticket d’entrée un peu plus élevé, de l’ordre de 16 000 € minimum. À ce prix, le look premium est peu distinctif puisque les versions proposées sont assez bas de gamme : finition Business ou Chic et moteurs PureTech ou BlueHDi de 130 ch. Les exemplaires datent de 2018 et affichent environ 130 000 km. En acceptant de dépenser 19 000 €, vous pouvez prétendre à une version 2.0 BlueHDi 180 ch Performance Line de 2018 ou 2019. En revanche, le kilométrage est plus élevé, environ 170 000 km.
Le marché de l’occasion n’est pas avare de déclinaisons hybrides rechargeables E-Tense. Les offres débutent à 26 000 € pour une E-Tense 300 Performance Line + de 2020 avec près de 150 000 km au compteur, mais les prix augmentent vite ensuite. Enfin, comptez 33 000 € minimum pour la version restylée du DS 7.

Consommation :

À la vue des prix pratiqués à la pompe, un véhicule dont la consommation est raisonnable peut être un critère décisif. C’est le cas du DS 7 qui profite d’un poids plutôt contenu pour éviter d’être trop porté sur la boisson. En diesel, le petit 1.5 BlueHDi nécessite en moyenne 6 l/100 km, la version plus puissante de 180 ch et associé à la boîte automatique demande un litre supplémentaire. En essence, les PureTech de 180 et 225 ch peuvent se stabiliser sous les 8 l/100 km, mais il ne faut pas avoir le pied lourd. Enfin, les versions hybrides se contentent de 6,5 l/100 km en moyenne, tant que la batterie est chargée.

Assurance :

Ce n’est clairement pas le budget assurance qui doit vous écarter, ou pas, du DS 7. Les primes sont, en effet, très proches de la concurrence à motorisation et finition équivalente (Volkswagen Tiguan, Peugeot 3008, Audi Q3). Les différences n’atteignent pas les 5 % selon notre profil de conducteur.

Prix des pièces :

Malgré ses prétentions « premium », le DS 7 partage les mêmes éléments mécaniques que les autres modèles du groupe PSA/Stellantis. Il n’y a donc pas de mauvaise surprise concernant le prix des pièces d’entretien (plaquettes et disques de frein, amortisseurs…). Elles sont plutôt dans la fourchette basse, en dessous de ce que propose le groupe Volkswagen par exemple.

Entretien :

Les périodicités d’entretien sont classiques, c’est-à-dire tous les ans ou 30 000 km et le prix de la main d’œuvre est dans la moyenne. Concernant la courroie de distribution, elle doit être remplacée à 180 000 km ou 10 ans maximum sur les diesels et 100 000 km ou 6 ans sur le PureTech de 130 ch. Le 1.6 PureTech est sans entretien à ce niveau puisqu’il utilise une chaîne de distribution.

Fiabilité

Description :

Les retours sont nombreux et multiples concernant le DS 7. Les soucis concernant l’AdBlue, et notamment son réservoir, sont à déplorer, avec parfois une immobilisation sans aucun message d’alerte au préalable. De plus, les problèmes rencontrés peuvent engendrer de coûteuses dépenses à l’image du filtre à particules ou de la crémaillère de direction. À noter cependant que les incidents de chaînes de distribution du 1.5 BlueHDi semblent épargner le DS 7 puisque les cas sont rares.

Par ailleurs, les équipements de bord et de confort (vitres et sièges électriques, système multimédia…) ont de quoi agacer puisque les dysfonctionnements sont relativement courants. S’ils peuvent se résoudre parfois comme par magie, un passage par la valise de diagnostic du constructeur peut être nécessaire.

Enfin, le DS 7 a connu de nombreux rappels. Avant de jeter votre dévolu sur un exemplaire, il est important de vérifier auprès de la marque (agent ou concessionnaire) s’il est à jour.

Pannes lourdes ou immobilisantes :

  • 1.5 BlueHDi : le DS 7 est épargné des soucis qu’a pu rencontrer ce moteur. En effet, la chaîne de distribution qui relie les arbres à cames peut se casser. Néanmoins, des bruits métalliques peuvent vous alerter, alors tendez l’oreille. Si l’entretien a été suivi en concession, la marque prend en charge la totalité de l’intervention jusqu’à 5 ans ou 150 000 km.
  • Réservoir d'AdBlue : cela commence souvent par un message "défaut pollution", mais peut conduire à une immobilisation. L'urée se fige et se cristallise, ce qui a pour effet qu'elle ne peut plus être injectée. Second problème, elle déforme le réservoir, ce qui peut aussi conduire à la même fâcheuse conséquence.
  • Chaîne de traction : dysfonctionnement du système hybride pouvant nécessiter le remplacement du moteur arrière.

Autres pannes ou faiblesses :

  • Usure des pneus : ceux qui équipent le train arrière s'usent de façon prématurée avec parfois moins de 25 000 km parcourus. Pour tenter de remédier au problème, les amortisseurs arrière sont remplacés.
  • Crémaillère de direction : comme pour les pneumatiques, elle peut s'user de façon trop rapide et nécessité son remplacement.
  • Filtre à particules : on recense quelques cas de changement du filtre sur les diesels 1.5 et 2.0 BlueHDi.
  • Comportement routier : plusieurs utilisateurs rapportent des réactions étranges du train arrière notamment sur les raccords. Bras longitudinaux, voire amortisseurs, sont alors remplacés.

Aspect extérieur :

  • Infiltration d'eau : de nombreux cas de feux arrière qui prennent l'eau sont répertoriés, notamment sur les premiers millésimes.
  • Toit ouvrant : moins courant que les optiques, de l'eau peut également s'infiltrer au niveau du toit ouvrant, nécessitant le remplacement de son joint.
  • Hayon électrique : il présente des dysfonctionnements, tant lors de l'ouverture que de la fermeture.

Finition intérieure :

  • Sellerie : quelques cas évoquent des soucis de couture des sièges avant. Globalement, le DS 7 est un bon élève en ce qui concerne la qualité de son intérieur.

Dysfonctionnements électroniques/fonctions à bord :

  • Mémoire du siège conducteur : sans raison particulière, la mémoire du siège conducteur "s'efface" obligeant à régler de nouveau sa position de conduite.
  • Vitres électriques : leur fonctionnement peut être aléatoire, nécessitant parfois d'insister sur les commandes.
  • Caméra avant : l'image peut devenir floue ou se figer.
  • Radio : les réglages des stations peuvent disparaître, il faut alors reprogrammer ses stations favorites.
  • Infodivertissement : les dysfonctionnements sont nombreux et variés, avec des lenteurs, un écran qui se fige, le Bluetooth qui se coupe, des bugs de la navigation…

Rappel de rectification en concession :

  • Avril 2019 : un composant du système d’airbag peut être défaillant, avec comme conséquence un mauvais fonctionnement sur les modèles produits entre le 5 septembre 2017 et le 26 octobre 2018.
  • Juillet 2021 : les électrodes de la batterie de traction des modèles Étende hybrides rechargeables peuvent être mal alignées avec un risque de court-circuit.
  • Janvier 2022 : un logiciel utilisé pendant les opérations d’après-vente (d’octobre 2020 à janvier 2021) peut conduire à des émissions d’oxydes d’azote (Nox) supérieures aux limites réglementaires.
  • Juillet 2022 : l'alimentation électrique du chauffage auxiliaire peut se couper avant que le carburant ne soit brûlé. Une importante fumée peut se dégager et une fuite se produire. Il faut alors reprogrammer les DS 7 produits entre le 19 avril 2017 et le 26 novembre 2021.
  • Septembre 2022 : décalage de tension entre les cellules sur les versions hybrides rechargeables, avec un risque d’incendie. Les modèles concernés ont été fabriqués entre le 4 octobre 2019 et le 26 novembre 2020.
  • Février 2023 : une erreur de logiciel peut entraîner un dysfonctionnement du moteur en altitude et à des températures basses sur le 1.5 BlueHDi BVA, ce qui peut provoquer une perte de l’assistance de freinage sur les exemplaires fabriqués entre le 16 mai 2018 et le 13 mars 2020.
  • Mars 2023 : sur les exemplaires fabriqués du 23 août 2022 au 6 janvier 2023, un couple incorrect sur diverses connexions mécaniques et électriques peut entraîner une perte de contrôle du véhicule ou une défaillance de la propulsion.
  • Mai 2023 : la batterie de traction des modèles E-Tense peut surchauffer en raison d’une défaillance du logiciel de surveillance de la batterie, avec un risque d’incendie.
  • Juin 2023 : une infiltration d’eau peut causer de la corrosion dans le boîtier de la batterie avec un risque d’incendie sur 14 800 exemplaires E-Tense produits du 19 février 2018 au 22 novembre 2022.
  • Juillet 2023 : le filtre à particules peut se mettre à surchauffer et à se fissurer sur les exemplaires produits entre le 27 mars 2017 et le 14 janvier 2022. En plus du remplacement du filtre, une reprogrammation du module de commande moteur est nécessaire.
  • Juillet 2023 : la fonction de sécurité, liée au capteur de température de la broche du câble de recharge, peut dysfonctionner et ne plus empêcher le câble de surchauffer. Les exemplaires potentiellement touchés ont été fabriqués entre le 17 février et le 4 mai 2023.
  • Septembre 2023 : l’un des softwares de l’unité de commande moteur peut empêcher l’allumage d’un témoin de dysfonctionnement, celui indiquant que l’injecteur d’urée n’est pas opérationnel sur les modèles construits entre fin 2019 et 2022.
  • Novembre 2023 : sur les 14 806 versions E-Tense hybrides rechargeables fabriquées entre le 19 février 2019 et le 22 novembre 2022, la batterie de traction peut monter en température de façon anormale. Installation d’un nouveau software, voire remplacement de la batterie si celle-ci est défectueuse.

Meilleures versions

En : 2.0 BLUEHDI 180 10CV PERFORMANCE LINE + AUTOMATIQUE

Quitte à prendre un diesel, autant choisir le 2.0 BlueHDi de 180 ch aux performances et à l’agrément nettement supérieurs par rapport à la déclinaison de 130 ch.
Commercialisation : 2018
Puissance fiscale : NC
Puissance réelle : NC
Emission de CO2 : 128 g/km
note :
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2

En : 1.6 E-TENSE 225 RIVOLI

Si vous avez de quoi recharger à la maison, la version E-Tense de 225 ch est la plus indiquée. La puissance est suffisante et l’autonomie en électrique est supérieure à la version de 300 ch qui doit emmener en plus un moteur électrique supplémentaire.
Commercialisation : 2021
Puissance fiscale : NC
Puissance réelle : NC
Emission de CO2 : NC
note :
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2

Mots clés :

En savoir plus sur : Ds Ds 7 Crossback

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Ds 7 Crossback 1.6 E-TENSE 225 PERFORMANCE LINE+ EAT8 (2021)

Par omalley54 le 24/11/2023

C'est mon deuxième DS7, comme quoi, je ne suis pas rancunier ! Le premier était un 180 HDI, un des prmeiers sortis. Je m'attendais à essuyer les plâtres, ça n'a pas raté ! Hélas, avec le second que j'ai toujours en LOA, rien de tout ce que j'avais signalé comme défaut de jeunesse n'a été réglé. Pire encore, au niveau ergonomie, je me demande à quoi pensent les concepteurs de DS ?Mettre des commandes en dessous du volant, donc totalement inaccessibles sauf à se contorsionner en roulant, c'est n'importe quoi. Le plancher du coffre qui contient le matériel de secours en cas de crevaison occulte l'éclarage du coffre quand on le soulève ! Bravo la sécurité de nuit, etc, etc.... La cerise sur le gâteau, c'est l'autonomie en électrique, j'e n'ai jamais dépassé 48 km et à condition de rouler sans chauffage, sans clim, bref, un vrai bonheur. Quant à l'autonomie essence, sur les 640 km annoncés au tableau de bord, quand on arrive en en faire 500, c'est le bout du monde, d'où ravitallements bien trop fréquents en surveillant la jauge en permanence. Pour le reste, commandes électriques bien trop lentes en général sans parler des mises à jour navigation et ODB interminables. J'en terminerai avec l'archaïque appli MYDS qui ne fonctionne que très rarement et qui renvoie souvent des chiffres erronés et qui refuse la transmission des itineraires préparés sur smartphone.

Essais Ds Ds 7 Crossback

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