Il est automatiquement 22 heures et, notez-le bien, j’ai pris grand soin à mettre « merdre » en italique.


Ce soir je tenais à vous annoncer – pour plagier nos constructeurs chéris – en avant-première, que dis-je en extrême avant-première voire en avant-avant-première, qu’il sera de retour. Que vous n’en ayez jamais entendu parler, c’est possible. Pourtant, son nom ne pourra plus vous échapper : Roberto Escuelos.


Non je ne me prends pas pour l’ange Gabi. et ne vous prends pas pour Marie Sainte-Nitouche. Je ne sais pas même si s’inversent ici les rôles mais peut-être pourriez-vous m’aider ou non à répondre à cette interrogation. Bref… Roberto Escuelos risque de débarquer prochainement sur Caradisiac. Prochainement, c’est-à-dire entre l’hiver et le printemps prochain. En même temps, il s’agit de s’en méfier des promesses ; elles ont tôt fait d’appartenir, une fois commercialisées, à la finance… comme l’a montré Pierre-Noël Giraud que nous avions rencontré à l’occasion du Mondial de Paris 2010.


En attendant, terminons ce teasing ainsi : Roberto Escuelos, personnage de fiction, est un gars triple champion du monde de Formule 1 et qui a gagné tout ce que le monde compte de courses présentement mythiques : les GP de Monaco, de Spa, de Monza, les 24 Heures du Mans, le Monte-Carlo, les 500 Miles d’Indianapolis, Pikes Peak, etc. etc. Peut-être le trouverons-nous en train de se poser la question de sa reconversion ? Ah, la reconversion… au moins les moines et les nones n’ont-ils et n’ont-elles pas ce type de problème-là.


Illustration : détail de l’album Le pilote sans visage, de Michel Vaillant (Jean Graton, Graton éditeur)