Actuellement plongée dans la terreur post-attentats, la capitale Britannique a décidé de privilégier la protection de ses contractuelles. Fréquemment aspergées de crachats d'automobilistes colériques -les risques du métier- ces pauvres pervenches disposeront désormais d'un moyen de riposte. Un test ADN pour identifier leurs agresseurs. Ainsi un britannique qui avait souillé de glaire une contractuelle a pu être identifié et verbalisé. La société de fourrière envisage d'équiper ses employés de kits ADN à 1,50 € l'unité. La mairie de Londres a de drôles de priorités en cette période de crise.

Alexandre Bataille